[ad_1]
« Veronika décide de mourir » raconte l’histoire de la transformation d’une jeune femme, qui a dû se suicider et qui est devenue une survivante convaincue et affirmative. Ce livre offre une histoire archétypale d’espoir, décrivant une situation dans laquelle la joie, la liberté, l’intégrité et la vérité demeurent possibles dans les circonstances les plus difficiles et les plus restrictives. Ce faisant, le récit explore de manière thématique la nature de la folie, l’importance de vivre une vie authentique et les menaces à l’identité individuelle imposées par les communautés fermées et les règles selon lesquelles elles fonctionnent.
Le récit commence avec Veronika qui prend quatre paquets de somnifères et décrit les raisons qui l’ont poussée à vouloir mettre fin à ses jours et à choisir cette méthode particulière. En attendant que les pilules fassent effet, Veronika lit un article d’un magazine qui déclenche chez elle une réaction si forte qu’elle décide d’écrire une lettre de protestation au rédacteur en chef du magazine, réalisant ce faisant que la lettre sera probablement prise comme une lettre de suicide. Au début, elle trouve l’idée amusante, mais lorsque les somnifères commencent à faire effet, elle devient moins amusée et plus mal à l’aise, réagissant finalement avec peur à l’idée qu’elle est sur le point de mourir.
Veronika ne meurt pas, mais reprend conscience dans le célèbre asile de fous de Villete, où le Dr Igor lui annonce que sa tentative de se suicider, initialement infructueuse, réussira inévitablement. Elle a endommagé son cœur au point qu’il ne pourra plus la maintenir en vie plus de cinq jours. Enfermée dans une salle commune avec d’autres personnes « folles », Veronika a du mal à accepter à la fois son échec et son succès imminent.
Au cours des jours qui suivent, les questions de Veronika sur sa véritable folie suscitent des réponses variées de la part de plusieurs infirmières de l’institution, de Zedka, une autre patiente dont l’âme voyage hors de son corps dans un processus que le récit qualifie de « projection astrale », et de Mari, membre d’un groupe de détenues hautement fonctionnelles connu sous le nom de La Fraternité. Veronika connaît également un éveil progressif de son intérêt pour les expériences à la fois nouvelles et anciennes, se retrouvant attirée par un patient schizophrène, Eduard, et attirée par un piano dans la salle commune de l’asile. Là, sous la nuit de la nouvelle lune, elle revient à son premier amour, la musique, et sous les yeux d’Eduard, elle se retrouve à jouer d’une manière qu’elle n’avait jamais fait auparavant. Elle aussi, en réponse à son attirance pour Eduard et au conseil de Mari d’essayer ce qui lui était autrefois interdit, se masturbe au point d’avoir plusieurs orgasmes. Tout cela, malgré une série de crises cardiaques douloureuses et effrayantes, suscite chez Veronika le désir de tenter encore plus d’expériences, et finalement le désir de vivre le plus pleinement possible le temps qui lui reste.
Parallèlement, la narration explore également les expériences, passées et présentes, des codétenues de Veronika. La fascination de Zedka pour ce que le récit décrit comme l’idéal, « l’amour impossible », le rejet par Mari de sa vie d’avocate en faveur d’une vie de service, et la recherche et l’exploration par Eduard de « Visions du paradis » sont toutes décrites dans le contexte de l’expérience progressive de Veronika qui s’éveille à la possibilité d’une vie plus libre et plus épanouissante. Ce genre de vie, suggère le récit, est considéré comme « insensé » par ceux qui vivent dans le monde « réel », mais qui, selon le récit, est le seul genre de vie qui soit vraiment « vécu ».
Finalement, Zedka, Mari et Eduard quittent tous, de diverses manières et pour diverses raisons, les confins de Villete. Eduard est accompagné de Veronika, qui est déterminée à vivre pleinement ce qu’elle croit être le peu de vie qui lui reste. À ce stade, la narration révèle que, pour ses propres besoins, le Dr Igor a manipulé Veronika en lui faisant croire qu’elle est sur le point de mourir, alors qu’en fait elle va vivre.
Le récit se termine avec Veronika et Eduard célébrant leur liberté et avec le Dr Igor célébrant le succès de son expérience.
[ad_2]
Source link -2