Vendre de l’assurance est difficile, mais ce n’est pas une mauvaise nouvelle pour les insurtechs

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j’ai passé pas mal un peu de temps ces derniers temps à regarder les dernières insurtech. Ce qui est bien en zoomant sur un secteur, c’est que j’entends des choses auxquelles je ne m’attendais pas. Parler aux investisseurs m’a également aidé à confirmer certaines de mes intuitions sur des sujets tels que la diversification des liquidités et les fusions et acquisitions. — Anne

Face-à-face Insurtech : B2B vs B2C

Lorsque j’ai récemment contacté des investisseurs pour notre dernière enquête sur les technologies de l’assurance, j’étais curieux de savoir comment l’économie affectait les décisions d’achat d’assurance et si cela rendait les entreprises B2B plus attrayantes pour les VC que leurs homologues B2C.

Mon raisonnement était que l’inflation pouvait peser si lourdement sur le budget des familles qu’elles pourraient décider de réduire leurs dépenses telles que les assurances. Ce n’est peut-être pas le meilleur choix, mais s’il s’agit de nourriture ou d’une meilleure assurance, le choix devient plus facile.

Alors que les entreprises ont également cherché à réduire leurs coûts, elles sont moins susceptibles de renoncer à l’assurance, en particulier pour les risques auxquels elles sont plus exposées. Pour les startups insurtech, cela créerait un environnement dans lequel il est plus facile de vendre des produits B2B que des produits B2C. Mais est-ce réellement le cas ?

Comme d’habitude, il s’avère que la réponse est plus compliquée qu’un simple oui ou non — mais aussi plus intéressante.

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