Contenu de l’article
Dans une série de vidéos partagées sur les réseaux sociaux, on voit une propriétaire de Brampton, en Ontario, brandir un grand couteau, menaçant prétendument de se mutiler à la suite d’un différend avec des locataires.
Les vidéos montrent un certain nombre de personnes se déplaçant autour de la propriété, ainsi qu’une pile d’effets personnels sur la pelouse, avant qu’une femme ne soit vue tenant le couteau et criant.
Contenu de l’article
Le différend tournerait autour du fait que les locataires, qui occupaient le sous-sol de la maison, n’avaient pas payé leur loyer.
Contenu de l’article
La police est ensuite arrivée sur les lieux et a dirigé le propriétaire vers le Commission provinciale de la propriété et des locatairesselon rapports des médias.
-
Un couple fiancé de l’Ontario a été tué par balle dans une dispute entre propriétaire et locataire à quelques jours du déménagement (familles)
-
Un juge de Colombie-Britannique annule l’ordonnance obligeant le « propriétaire » à payer aux locataires expulsés un loyer annuel de 34 000 $
L’agence gouvernementale est chargée de superviser et de réglementer les relations entre propriétaires et locataires, ainsi que de résoudre les différends entre eux.
Les vêtements, valises et autres effets personnels présentés dans les vidéos appartiendraient aux locataires, qui occupaient « illégalement » le logement locatif, selon les publications sur les réseaux sociaux.
Dans une déclaration au National Post, lorsqu’on lui a demandé de commenter l’incident de Brampton, la police régionale de Peel a déclaré que son « autorité est limitée dans ces cas, comme dans d’autres litiges de nature civile ».
« Lorsqu’il s’agit de conflits (entre propriétaires et locataires), le rôle premier de la police est de maintenir l’ordre. Si aucune infraction criminelle ou provinciale n’a eu lieu, les parties impliquées sont référées à l’autorité compétente qui en Ontario est la Commission de la location immobilière », ont-ils ajouté.
Contenu de l’article
Dans certaines circonstances, lorsqu’elle a affaire à des « pensionnaires » qui ne relèvent pas des protections prévues par la loi sur la location résidentielle, la police peut aider à leur expulsion.
Conformément aux lois régissant les relations entre locataires et propriétaires en Ontario, un propriétaire peut émettre un avis de résiliation d’une location pour non-paiement du loyer. L’avis informe le locataire qu’il dispose d’un délai de 14 jours pour payer intégralement le loyer impayé.
Si le locataire ne paie pas le loyer en souffrance à temps, le propriétaire peut demander à la commission une ordonnance d’expulsion et une audience peut être fixée afin que le propriétaire et le locataire puissent présenter leur cas.
Plus tôt cette année, la province a annoncé que plus de 6 millions de dollars seraient alloués à la CLI pour accélérer le règlement des différends entre propriétaires et locataires.
L’argent a été utilisé pour nommer 40 arbitres supplémentaires et embaucher cinq membres du personnel « afin d’améliorer les normes de service et de réduire les demandes actives et les délais de décision à la Commission de la location immobilière ».
Cette augmentation a plus que doublé le nombre d’arbitres à temps plein à la CLI.
« Les résidents et les fournisseurs de logements locatifs méritent des résultats rapides, et la bureaucratie gouvernementale ne devrait pas faire obstacle. » dit Le procureur général Doug Downey.
En mai, deux locataires d’un appartement de Stoney Creek, en Ontario, auraient été abattus par leur propriétaire, qui a ensuite été tué lors d’un échange de coups de feu avec la police.
Les locataires, Carissa MacDonald, 27 ans, et Aaron Stone, 28 ans, auraient été à quelques jours de leur déménagement lorsque l’incident s’est produit.
Notre site Web est l’endroit idéal pour les dernières nouvelles, les scoops exclusifs, les lectures longues et les commentaires provocateurs. Veuillez ajouter nationalpost.com à vos favoris et vous inscrire à nos newsletters ici.