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Mon frère est comme. . . Inman, de Montagne froide. Un homme qui marche et marche, partout dans les Appalaches.
Il sait comment chercher de la nourriture et comment identifier ce qui est bon et ce qui est mauvais, dans la nature. Je peux désigner n’importe quoi dans le règne végétal, et il connaît son nom. Il composte tous ses déchets et laisse une très faible empreinte sur notre planète.
Il est aussi. . . tu sais, un peu fou, quand il s’agit de tout ce qui marche.
Mon frère a parcouru le sentier des Appalaches une fois, dans son intégralité, et a parcouru plus de 900 km de ses parties préférées, à d’autres moments. Il marche ou fait de la randonnée de 5 à 25 miles par jour et il se trouve actuellement sur le Pacific Crest Trail, quelque part dans le nord de la Californie, au moment d’écrire ces lignes.
C’est un marcheur, et même si je marche et marche AUSSI, mes habitudes lui ressemblent apparemment à de petites patates. Quand il était ici en mai, chez nous, se préparant à partir en randonnée sur le PCT, il me poussait, avec insistance, à parcourir bientôt le sentier des Appalaches.
Il faisait ce coup de coude alors que mes trois enfants étaient dans la cuisine avec moi, et l’un d’eux s’accrochait littéralement à ma jambe. Les deux chiens mouraient de faim, me fixaient pendant que nous parlions, nos chats entraient et sortaient de la maison, miaulant pour de la nourriture, et mon mari était dehors, en train d’arracher les mauvaises herbes.
J’ai dû le regarder comme s’il était un idiot. J’ai craché quelque chose avec agacement, comme : « J’ai responsabilités. Peut-être qu’un jour, comme, quand nous serons retraité?? » (Et peut-être pas alors non plus ?)
Le compromis auquel nous sommes parvenus était qu’au lieu de commencer l’AT ce jour-là, je m’engageais à lire le texte de Bill Bryson Une promenade dans les bois alors qu’il était sur le PCT. Assez juste. Je l’ai fini aujourd’hui.
Voici ce que j’ai à dire :
J’aime Bill Bryson quand il est drôle, comme quand il fait des observations sociales, ou, dans le cas de cette histoire, en randonnée avec son ami, Stephen Katz, et le commentaire hilarant qui s’ensuit.
Je n’aime pas Bill Bryson quand il m’ennuie à fond, rompant avec l’histoire drôle pour décrire des phénomènes géologiques ou des cartes ou le système des parcs nationaux aux États-Unis. Soyez humoristique OU didactique, Bill, mais s’il vous plaît, ne soyez pas les deux.
Je ne ferais jamais de randonnée sur l’un de ces sentiers sans un entourage, un spray anti-ours, un club de billy et/ou une batte de baseball et un SENS INCROYABLE DE L’HUMOUR.
Après avoir lu le livre de Bryson, j’aimerais un jour parcourir au moins une partie du sentier des Appalaches, ne serait-ce que pour écrire à ce sujet. Je crois que mon désir de vaporiser du poivre sur n’importe quel homme d’apparence étrange sur la piste, sans hésiter un instant, peut donner lieu à une écriture intéressante. De plus, je serais sûr de crier sur chaque serpent, et je serais probablement assez stupide pour jouer avec un ourson. Elles sont si mignonnes!
Personnellement, je voulais en savoir BEAUCOUP plus sur ces monstres dans l’abri la nuit, et bien plus de détails sur où et comment ils sont tous allés à la salle de bain (frisson), et je me suis senti complètement déçu que Bryson et son compagnon aient fait une randonnée alors peu de la piste réelle.
Honnêtement, le livre était si ennuyeux au milieu (quand ils ont abandonné la piste la première fois), que je pouvais à peine susciter l’intérêt de le relire.
Je pense que je dois arrêter de considérer Bryson comme un humoriste, comme Dave Barry. Il me fait rire, mais il parle aussi de choses qui ne m’intéressent pas. J’ai atteint un point étrange avec lui, où je ne suis pas sûr de vouloir continuer à lire davantage.
Quatre étoiles pour des descriptions mémorables de quelques-uns des randonneurs et plusieurs fous rires. . .
Et croisons les doigts pour le retour sain et sauf de mon frère !
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