L’article souligne l’affection pour Potionomics, un simulateur de magasin de potions, et rappelle sa note élevée de 87 par PC Gamer en 2022. Il mentionne les améliorations récentes, comme des options de difficulté ajustables, un mode sans fin, et un mode « Amour libre » permettant d’explorer plusieurs relations. De plus, le jeu a introduit le voice acting pour enrichir l’expérience narrative. Ces mises à jour visent à corriger des problèmes majeurs rencontrés par les joueurs à sa sortie.
Lorsque Potionomics a été lancé en 2022, j’ai tout de suite été séduit, et il semble que l’enthousiasme ait également touché de nombreux autres joueurs. Ce jeu, développé par Voracious Games, se présente comme un simulateur de magasin où le protagoniste hérite d’une montagne de dettes et d’un magasin de potions. L’aspect vente des potions, ainsi que la participation à des défis, repose sur le mécanisme de deckbuilding : le joueur acquiert de nouvelles stratégies de vente auprès de différents personnages, avant de les mettre en pratique lors de duels inspirés de Slay the Spire. Le design des personnages, l’interface utilisateur et les animations sont tous pensés pour offrir une immersion agréable, chaque élément se combinant harmonieusement. Cependant, lors de ma première expérience de jeu, quelques problèmes majeurs ont freiné ma progression. Heureusement, ces soucis ont été résolus grâce à une mise à jour récente.
Tout d’abord, Potionomics étant un jeu où la gestion du temps est essentielle, il écopait d’une mécanique frustrante, similaire à XCOM, où perdre du temps dans les premiers jours pouvait entraîner une spirale de mort. Cela rendait le jeu stimulant, mais faisait que de nouveaux joueurs pouvaient investir plusieurs heures avant de se rendre compte qu’ils étaient coincés. Désormais, des options de difficulté ajustables à tout moment sont disponibles pour améliorer l’expérience des joueurs.
Concernant la gestion du temps, la conclusion initiale de Potionomics m’avait également dérangé. Il y avait une sorte de date limite à la Persona, avec un générique à la fin, ce qui pourrait fonctionner pour un jeu court. Malheureusement, après environ 30 heures de jeu, j’estimais que mon parcours n’était pas achevé. À présent, un mode infini a été intégré après l’histoire principale, permettant de compléter toutes les intrigues amoureuses laissées en suspens.
En parlant d’intrigues amoureuses, cette durée de jeu, bien qu’elle soit un atout dans d’autres contextes, était source de frustration. Potionomics regorge de personnages attachants et bien développés, mais initialement, vous ne pouviez en embrasser qu’un seul par partie, ce qui était frustrant compte tenu de l’investissement de temps. Bonnes nouvelles : un mode » Amour libre » est maintenant disponible, vous permettant d’explorer des relations polyamoureuses dès le début de votre aventure.
Enfin, l’ajout d’une fonctionnalité très attendue, le doublage, fait aussi partie des améliorations. Deux ans après sa sortie, les développeurs ont introduit des voix pour les principales scènes scénaristiques, apportant une nouvelle dimension à l’expérience de jeu. Maintenant, il ne me reste plus qu’à jongler avec mon temps de jeu limité, entre Metaphor : ReFantazio (qui est exceptionnel), Dragon Age : The Veilguard à venir, et un nouveau passage par Potionomics que j’ai ajouté à ma liste de jeux. Je crains de ne pas quitter ma maison de sitôt!