Une mère de Saskatoon accusée d’avoir simulé la mort, l’enlèvement de son fils aux États-Unis fait face à de nouvelles accusations

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Une femme de 48 ans de Saskatoon accusée d’avoir enlevé son fils, d’avoir simulé sa mort et d’être entrée illégalement aux États-Unis fait face à de nouvelles accusations.

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La police de Saskatoon a annoncé mardi qu’elle avait accusé la femme d’avoir obtenu illégalement des documents d’identité à fabriquer et de les avoir possédés, d’avoir falsifié un passeport, d’avoir fait une fausse déclaration concernant un passeport, d’avoir possédé un faux passeport, d’avoir possédé de faux documents, de vol d’identité et d’usurpation d’identité .

Elle fait déjà face à des accusations canadiennes d’enlèvement parental en violation d’une ordonnance de garde et de méfait public.

La police a déclaré dans un communiqué de presse que la femme s’était rendue au poste de police de Saskatoon mardi après-midi où elle avait été arrêtée et que des accusations supplémentaires avaient été portées.

La femme fait également face à des accusations aux États-Unis de vol d’identité aggravé et de vol d’identité pour avoir prétendument possédé sciemment des documents d’identité – un permis de conduire de la Saskatchewan et un passeport canadien – appartenant à quelqu’un d’autre et les ayant utilisés pour commettre un acte illégal en vertu de la loi locale, étatique ou fédérale en aux États-Unis, selon un acte d’accusation daté du 7 septembre.

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Une interdiction de publication a été ordonnée par un juge de la Cour provinciale de Saskatoon sur « toute information » qui pourrait identifier l’enfant.

La femme et l’enfant ont fait l’objet d’une recherche de deux semaines qui s’est terminée le 5 août lorsque les deux ont été retrouvés en sécurité à Oregon City, Oregon. L’enfant est retourné à Saskatoon avec un tuteur légal le 7 août.

La femme a été arrêtée et placée en garde à vue aux États-Unis et a ensuite été renvoyée au Canada après qu’un tribunal de district américain de l’Oregon a consenti à sa libération aux forces de l’ordre au Canada.

La femme a été libérée sous caution par un juge de la Cour provinciale de Saskatoon le 2 septembre, sous réserve d’une surveillance électronique et de plusieurs conditions lors de sa libération.

Une nouvelle interdiction de publication a été ordonnée sur la preuve présentée lors de son enquête sur le cautionnement ainsi que sur le raisonnement du juge pour la décision de libération sous caution.

La prochaine comparution de la femme devant le tribunal provincial de Saskatoon est prévue pour le 21 novembre.

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