vendredi, janvier 3, 2025

Une histoire orale de la guerre des zombies par Max Brooks

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La guerre des zombies a été incroyablement proche de l’éradication de l’humanité. Max Brooks, poussé par l’urgence de préserver les expériences de première main gravées à l’acide des survivants de ces années apocalyptiques, a parcouru les États-Unis d’Amérique et le monde entier, des villes décimées qui regorgeaient autrefois de plus de trente millions d’âmes à les régions les plus reculées et les plus inhospitalières de la planète. Il a enregistré le témoignage d’hommes, de femmes et parfois d’enfants qui se sont retrouvés face à face avec les vivants, ou du moins les morts-vivants, l’enfer de cette terrible époque. World War Z est le résultat. Jamais auparavant nous n’avions eu accès à un document qui exprime si puissamment la profondeur de la peur et de l’horreur, ainsi que l’esprit de résistance indéracinable, qui s’est emparé de la société humaine pendant les années de peste.

Allant du désormais tristement célèbre village de New Dachang dans la Fédération unie de Chine, où la piste épidémiologique a commencé avec le Patient Zero de douze ans, aux forêts du nord sans nom où un nombre incalculable de personnes cherchaient un refuge terrible et temporaire dans le froid, pour des États-Unis d’Afrique australe, où le plan Redeker a donné un espoir pour l’humanité à un prix indescriptible, à la redoute à l’ouest des Rocheuses où le vent nord-américain a enfin commencé à tourner, cette précieuse chronique reflète toute l’étendue et la durée de la guerre des zombies.

Surtout, le livre capture avec une immédiateté obsédante la dimension humaine de cet événement historique. Faire face à la nature souvent crue et vivante de ces témoignages requiert un certain courage de la part du lecteur, mais l’effort est inestimable car, comme le dit M. Brooks dans son introduction, « En excluant le facteur humain, ne sommes-nous pas risquer une sorte de détachement personnel de l’histoire qui peut, Dieu nous en préserve, nous conduire un jour à la répéter ? Et finalement, le facteur humain n’est-il pas la seule vraie différence entre nous et l’ennemi que nous appelons morte’? »

Remarque : Certains des éléments numériques et factuels contenus dans cette édition ont déjà été publiés sous les auspices de la Commission d’après-guerre des Nations Unies.

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