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Le lieutenant s’appelait Louis Zamperini. Dans son enfance, il avait été un délinquant rusé et incorrigible, pénétrant par effraction dans les maisons, se bagarrant et fuyant sa maison pour monter sur les rails. Adolescent, il avait canalisé son défi dans la course à pied, découvrant un talent prodigieux qui l’avait porté aux Jeux olympiques de Berlin et en vue du mile de quatre minutes. Mais quand la guerre était arrivée, l’athlète était devenu un aviateur, se lançant dans un voyage qui l’a conduit à son vol condamné, un petit radeau et une dérive vers l’inconnu.
Devant Zamperini se trouvaient des milliers de kilomètres d’océan ouvert, des requins bondissants, un radeau qui sombrait, la soif et la famine, des avions ennemis et, au-delà, une épreuve encore plus grande. Poussé aux limites de l’endurance, Zamperini répondrait au désespoir avec ingéniosité ; souffrir avec espoir, détermination et humour; brutalité avec rébellion. Son destin, qu’il soit triomphe ou tragédie, serait suspendu au fil effiloché de sa volonté.
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