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OTTAWA — Le syndicat qui représente 9 000 travailleurs de l’Agence des services frontaliers du Canada affirme qu’il ne fera pas grève avant au moins mercredi, alors que la médiation se poursuit.
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L’Alliance de la Fonction publique du Canada avait initialement déclaré que les travailleurs frontaliers devaient faire grève dès 16 heures vendredi s’ils ne parvenaient pas à un accord, mais elle a décidé de prolonger les négociations.
Le syndicat affirme qu’une grève similaire menée il y a trois ans a presque paralysé le trafic commercial aux frontières et causé d’importants retards à travers le pays.
Le gouvernement affirme que 90 pour cent des agents frontaliers de première ligne sont désignés comme essentiels, ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas arrêter de travailler pendant une grève.
Mais les syndiqués pourraient travailler pour gouverner, une tactique selon laquelle les employés font leur travail exactement comme indiqué dans leurs contrats.
Les experts estiment que cela pourrait encore provoquer de sérieux ralentissements, qui pourraient se transformer en perturbations massives étant donné le volume du trafic qui traverse normalement la frontière.
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