Une femme renvoyée au Canada depuis un camp de prisonniers syrien fait face à une accusation de terrorisme

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Une femme de 29 ans qui faisait partie d’un groupe de femmes et d’enfants renvoyés au Canada en avril après des années dans un camp de prisonniers syrien a été accusée d’une infraction liée au terrorisme.

La GRC affirme que l’accusation a été portée à la suite d’une enquête menée par l’Équipe intégrée de la sécurité nationale.

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Quatre femmes canadiennes et dix enfants ont atterri à Montréal en avril après avoir été détenues pendant des années au camp d’al-Roj. Trois d’entre elles ont été arrêtées à leur arrivée et libérées sous conditions.

La police affirme qu’Ammara Amjad a été arrêtée jeudi à Milton, en Ontario, pour avoir prétendument participé aux activités du groupe État islamique.

Amjad a comparu devant la cour provinciale de Brampton pour une enquête sur cautionnement et a été libéré sous conditions.

Sa prochaine date d’audience est fixée au 17 novembre.

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