Une critique de la chanson des Highlands | Joueur sur PC

Moira leaving her house

Qu’est-ce que c’est? Un jeu de plateforme, un jeu de rythme, une histoire à embranchements – en d’autres termes, une autre expérience narrative inkle.

Date de sortie 5 décembre 2023

Développeur encre

Éditeur encre

Révisé le Radeon 5700 XT, i5-9600K, 16 Go de RAM

Pont à vapeur N / A

Lien Site officiel

Les approches expérimentales et révolutionnaires de la narration interactive ont toujours été le produit phare d’Inkle, depuis l’adaptation en plusieurs parties de plus en plus ambitieuse de Sorcery de Steve Jackson ! à l’intrigue en haute mer d’Overboard ! Aussi fasciné que je l’étais par chacun de ces hybrides singuliers, j’ai toujours été frappé par une incongruité commune, le sentiment que leurs couches mécaniques et narratives étaient souvent aux antipodes les unes des autres. Incorporant des éléments de jeux de plateforme, de survie et de rythme, A Highland Song est sans doute leur œuvre la plus polyvalente à ce jour. Ces éléments peuvent-ils se fondre en un tout cohérent ?

Moira McKinnon n’est jamais allée à la mer. Elle ne s’entend pas avec sa mère qui insiste sur le fait qu’elle ne peut pas aller à l’école parce qu’elle ne s’y intégrerait pas. Son père a été absent toute sa vie et son petit frère est ennuyeux. Alors, quand oncle Hamish, un gardien de phare délirant qui lui envoie régulièrement des cartes postales avec des histoires fantaisistes sur des selkies au cœur brisé et des géantes furieuses, lui demande de lui rendre visite à temps pour Beltane, le 1er mai en gaélique, elle fait ce que n’importe quelle adolescente agitée ferait en elle. lieu. Elle prépare à la hâte un sac à dos, lance une insulte d’adieu à sa mère et s’aventure à travers un horizon de crêtes toujours montantes.

(Crédit image : inkle)

Une chanson des Highlands constitue une première rencontre à couper le souffle. Le paysage écossais est vivement peint dans les bruns terreux et les verts succulents des forêts de pins, et plus tard, lorsque les sommets s’élèvent et les températures baissent, avec les blancs durs d’un blizzard soudain. Se promener dans ces environnements idylliques est une joie en soi et, au moins au début, le jeu fait un excellent travail en transmettant l’exaltation de la liberté retrouvée de Moira via une myriade de petites touches visuelles : le peps suintant de chaque image de son animation de saut ; le mouvement insouciant de sa queue de cheval alors qu’elle galope sur les pentes les plus douces ; la possibilité de faire un zoom arrière pour une vue panoramique à couper le souffle (qui constitue également la meilleure option pour vous orienter).

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