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« Another Night in the Ruins », de Galway Kinnell, est un poème sur la spiritualité et la créativité raconté en sept sections. Il a été publié pour la première fois dans Revue de Paris au printemps 1966. Kinnell l’a plus tard inclus dans son recueil de poésie, Chiffons pour le corps (1968), qui fut finaliste pour le prestigieux National Book Award. La publication de ce volume marqua un point culminant dans la carrière de Kinnell en tant que poète ; après cela, Kinnell commença à récolter des distinctions importantes.
Enfant, Kinnell aimait les œuvres d’Edgar Allan Poe et d’Emily Dickinson, mais en tant que poète adulte, il se considérait comme un disciple de Walt Whitman. Les spécialistes de la littérature américaine affirment que la poésie américaine moderne est issue soit de la tradition de Walt Whitman, soit d’Emily Dickinson. Whitman est clairement évoqué dans le style passionné et sonore de Kinnell, et comme l’œuvre de Whitman, les poèmes de Kinnell traitent de spiritualité, de la relation de l’homme avec le monde naturel et de questions sociales.
« Another Night in the Ruins » s’inspire largement du monde naturel et spirituel tandis que le narrateur examine son propre processus de créativité. Les ruines auxquelles fait référence le titre sont les ruines métaphysiques d’anciennes œuvres résidant en le narrateur du poème. Le narrateur cherche un moyen de grandir ou de renaître en tant qu’écrivain. À la fin du poème, il comprend que le feu de la créativité n’est pas un outil à contrôler, et il sait au contraire que son véritable travail consiste à se confier entièrement à sa passion créatrice.
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