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Sous le feu : l’histoire d’une escouade d’Henri Barbusse fournit un récit captivant de la vie et de la mort dans les tranchées du front occidental pendant la Première Guerre mondiale à paraître. La plupart des camarades du narrateur étant tués, un groupe de survivants de diverses unités débat de questions de guerre et de paix, de nationalisme et de justice, puis retourne au combat.
Under Fire: The Story of a Squad d’Henri Barbusse s’ouvre dans les Alpes paisibles alors qu’un groupe d’intellectuels contemplent l’horreur à venir de la Première Guerre mondiale. Ils espèrent que les soldats qui survivront forceront le monde à changer ses habitudes. Le narrateur anonyme, qui prend des notes en vue d’écrire un livre, est affecté à une escouade de creuseurs qui fortifient les tranchées de première ligne à la demande. Ils travaillent la nuit et boudent le jour. Une grande partie de l’action se déroule pendant les périodes de repos entre les affectations.
Lorsque deux hommes, Volpatte et Fouillade, sont détachés de l’escouade et perdus, des chercheurs sont envoyés. Volpatte est envoyé à l’arrière pour faire réparer ses blessures, tandis que plusieurs de ses camarades s’éprennent d’une belle fille, Eudoxie, tout en profitant d’un beau repos à Gauchin-l’Abbé. Lamuse déprime quand Eudoxie le rejette. Eudore profite de son congé pour rendre visite à sa femme pour la première fois en 15 mois, mais ne réussit qu’un baiser d’une demi-minute. Volpatte revient de l’arrière livide des « shirkers » qui y fonctionnent.
Le narrateur décrit diverses vignettes, dont le souvenir de Fouillade de sa maison méditerranéenne une visite dans une taverne locale. Poterloo emmène le narrateur dans un « pèlerinage périlleux » à Souchez, qui a été nivelé et lui raconte qu’il s’est récemment faufilé à Lens pour voir sa femme, pour la trouver en train de flirter avec des officiers allemands.
L’histoire s’intensifie lorsque l’équipe est envoyée sur la cote 119, où les armées adverses sont à 100 mètres l’une de l’autre. Ce qui commence comme un magnifique feu d’artifice se transforme en une « avalanche de feu et de fer » mortelle. L’escouade reçoit l’ordre de se battre, est prise dans un mur de « feu de barrage », et les quelques membres libèrent la soif de sang sur les défenseurs allemands symboliques. Le narrateur voit dans un centre Refuge les horreurs des blessés ambulants jusqu’à ce qu’un bombardement le détruise. En creusant une nouvelle tranchée dans « No Man’s Land » par une nuit crue et pluvieuse, l’équipe subit à nouveau des tirs de barrage, mais les vrais dégâts sont causés par la nature, car la pluie et une nappe phréatique peu profonde transforment les tranchées et les trous en boue aspirante mortelle. Les quelques survivants parlent avec philosophie de guerre et de paix, de justice, d’égalité et d’espoir, avant de se résigner à reprendre le combat.
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