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Après deux ans sur le front russe, Ernst Graeber bénéficie enfin de trois semaines de congé. Mais comme les congés ont déjà été annulés, il décide de ne pas écrire à ses parents, craignant qu’il ne fasse qu’élever leurs espoirs.
Après deux ans sur le front russe, Ernst Graeber bénéficie enfin de trois semaines de congé. Mais comme les congés ont déjà été annulés, il décide de ne pas écrire à ses parents, craignant qu’il ne fasse qu’élever leurs espoirs.
Puis, quand Graeber arrive à la maison, il trouve sa maison bombardée et ses parents nulle part en vue. Personne ne sait s’ils sont morts ou vivants. Alors que son congé touche à sa fin, Graeber tend la main à Elisabeth, une amie d’enfance. Comme lui, elle est emprisonnée dans un monde qu’elle n’a pas créé. Mais en temps de guerre, l’amour semble un monde loin. Et parfois, un confort temporaire peut conduire à quelque chose d’inattendu et de rédempteur.
« Le monde a un grand écrivain en Erich Maria Remarque. C’est un artisan d’un rang incontestablement de premier ordre, un homme qui sait plier le langage à son gré. Qu’il écrive sur des hommes ou sur une nature inanimée, son toucher est sensible, ferme et sûr. »—The New York Times Book Review
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