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Par rapport aux aventures d’action de S
Comparé aux aventures d’action de Scarrow, Igguldon ou Duffy, le style d’écriture de « Eagle in the Snow » est austère, abrupt et subtil. « Eagle » est profond et la prose et l’exposition sont très authentiques. Considérez Scarrow et Duffy comme des téléfilms et Breem comme un film digne d’un Oscar. Il n’est pas surprenant que le livre soit un best-seller, et dans le domaine de la fiction historique romaine, « Eagle » justifie son éloge en tant que classique. Pour ceux qui s’intéressent moins à la fiction militaire romaine, comme le Rhin lui-même, « Eagle » est beaucoup plus profond.
Breem peint une image très détaillée et précise de la vie dans le monde de Maximus. Ce roman historique est aussi solide dans son histoire que la documentation et l’archéologie le permettaient à la fin des années 60, et les libertés prises semblent peu nombreuses et pardonnables. Il dessine un exposé très vivant de l’existence aux extrémités de la terre romaine. Il suscite l’émotion par le jeu subtil entre les personnages et par le monologue de Maximus.
L’histoire est structurée du point de vue de Maximus, qui raconte tout sauf le prologue et l’épilogue. Il est le parfait romain – né en Gaule d’ascendance romaine, élevé pour être soldat. Il aime Rome avec chaque fil de son être, et bien qu’il n’y soit jamais allé, il aime ce qu’est la ville et ce qu’elle représente. Le Maximus de Breem est l’idéal romain.
Son cousin Julian a été élevé par ses propres parents alors que Julian a été contraint de se suicider par un empereur romain usurpateur. Julian grandit également pour devenir soldat, mais à ce stade, les chemins des cousins divergent. Maximus et Julian représentent les deux faces d’une pièce de monnaie romaine – d’un côté se trouve Maximus : l’Empire, fidèle, discipliné, loyal et toujours romain. De l’autre côté se trouve Julien : l’Empire en déclin, rancunier, vivant en marge et rongé par la haine.
Maximus est poussé à se séparer de l’Empire et à diriger ses légions frontalières en tant que nouvel empereur. Il décline les deux fois, une fois à sa légion romaine et une fois aux tribus germaniques. Julian intercède en faveur des tribus et Maximus explique pourquoi il ne peut pas accepter : « Mon empire a eu plus d’empereurs usurpateurs que je ne peux en compter… Julian répond : « L’Empire se meurt, Maximus. Il est plus faible que quand tu étais petit… »
Maximus ne reçoit finalement aucun soutien d’aucune autre légion romaine, reflétant la nature fracturée, désagrégée et égoïste des nations éloignées de l’Empire. La fin est inévitable – bien que le monologue émouvant de Maximus soit tel que l’on ne peut s’empêcher de ressentir de l’espoir et de l’optimisme à chaque tournant de la série ultime de batailles.
L’édition Rugged Land du livre (publiée en 2004) fournit une liste détaillée de personnages, une chronologie historique, des noms de lieux romains et modernes et des glossaires de tribus et de termes du 5ème siècle. Il est particulièrement utile de distinguer les personnages historiques de ceux qui sont purement fictifs. Maximus, bien que peut-être vaguement basé sur les généraux de l’époque, est fictif. Une carte plus détaillée aurait également été utile.
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