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Fermement installé au milieu du canon du Dr Seuss, Un poisson, deux poissons… est le favori de beaucoup de gens pour son humour léger, ses distiques entraînants à la Molière et son utilisation intelligente de la répétition ainsi que de la surprise, comme dans le titre, où le mot qui rime vient au début d’une syllabe répétée, plutôt qu’à la fin de la phrase.
Il mérite sa place comme l’un des plus cités (peut-être seulement
Fermement installé au milieu du canon du Dr Seuss, Un poisson, deux poissons… est le favori de beaucoup de gens pour son humour léger, ses distiques entraînants à la Molière et son utilisation intelligente de la répétition ainsi que de la surprise, comme dans le titre, où le mot qui rime vient au début d’une syllabe répétée, plutôt qu’à la fin de la phrase.
Il mérite sa place comme l’un des plus cités (peut-être seulement Oeufs Verts et Jambon est plus souvent cité) et amusant à lire à haute voix (après seulement Renard en chaussettes), mais il reste fermement dans le niveau intermédiaire car il lui manque trois choses :
1) Les créations classiques du Dr Seuss. Ce livre ne présente pas un Who, un Cat in the Hat, Mulberry Street, Green Eggs, Grinches, ou tout autre élément nouveau de notre culture n’est pas une critique. Cependant, cela distingue ces livres en tant que pièces critiques qui ont contribué à notre société d’une manière ou d’une autre; ils s’élèvent au-dessus de ce livre.
2) Le moralisateur manifeste de Giesel. Qu’il s’agisse d’enseigner la taille par rapport à l’importance, de s’amuser et de nettoyer après cela, de la futilité de la guerre ou même d’une leçon secrète (et peut-être involontaire) sur des modificateurs ambigus, les classiques de Seuss font ce que fait la plus grande littérature pour enfants ; ils nous rappellent en tant qu’adultes les leçons dont nous avions besoin pour grandir et que nous devons maintenant ne pas oublier.
3) Étude secrète d’un principe philosophique. Tout cela est peut-être dû à l’interprétation (personne ne suggère que Giessel l’avait voulu), mais de nombreux lecteurs depuis des décennies ont trouvé que la répétition et la variation d’un thème dans les livres de Seuss servaient de métaphore ou d’exemple direct de quelque chose d’universel. Qu’il s’agisse d’imagination en jeu et de sa conséquence sociale (Le chat dans le chapeau), des questions ontologiques sur les idéaux platoniciens (Oeufs Verts et Jambon, qui rejette l’idée que l’environnement est pertinent pour le plaisir de la nourriture), la question freudienne de l’expérience et sa capacité à conduire tout comportement futur (Comment le Grinch a volé Noël), ou un exemple plus complexe tel que Penser que je l’ai vu sur Mulberry Street, qui combine tout ce qui précède de diverses manières), le meilleur de Seuss prend une question universelle et l’entoure, nous montrant diverses vues de manière fantaisiste tout en utilisant des tropes enfantins pour dépouiller la question jusqu’à sa base abstraite. Il ne le fait pas parce que Giessel avait l’intention d’être philosophe, mais parce qu’il pensait aux enfants et à l’apprentissage de manières profondes inhérentes à l’essence de l’expérience de l’humanité.
Dans ce contexte, Un poisson, deux poissons… est un livre agréable et agréable, et que j’aurai plaisir à lire plusieurs fois ; sa cote de trois étoiles est uniquement due au fait qu’il s’agit d’une bagatelle relative dans le canon de Seuss lorsqu’il est vu à côté de ses nombreux chefs-d’œuvre. Ce n’est pas celui sur lequel vous reviendrez au fil des décennies pour vous inspirer, lorsque vous enseignerez à vos enfants, ou comme exemple pour comprendre ou expliquer un principe implicite dans la pensée de Giessel et vital pour nous tous.
C’est un grand livre. Tu piges. Lis le. Mais il gagne un « Je l’ai aimé » sur l’échelle Goodreads. Ne pense pas à passer Renard en chaussettes, Horton entend un qui, Le chat dans le chapeau, ou un autre de ses classiques en faveur de celui-ci.
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