vendredi, novembre 22, 2024

Un été pour mourir

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A Summer to Die de Lois Lowry raconte l’histoire de Meg Chalmers, treize ans, dont toute la vie est bouleversée lorsque ses parents, Charles et Lydia Chalmers, lui disent, ainsi qu’à sa sœur Molly, quinze ans, qu’ils le feront. Ils vont fermer leur maison familiale dans la petite ville de la Nouvelle-Angleterre où ils vivent et déménager dans une ferme de campagne. Les filles sont choquées, surtout Meg qui est plus timide et réservée que sa belle et populaire sœur aînée. Meg a vécu dans leur maison toute sa vie. Les filles ne sont pas contentes de devoir abandonner leur école et leurs amis. Mais il y a un côté positif : ils n’auront à vivre à la ferme que pendant un an pendant que Charles termine le livre qu’il est en train d’écrire. Il est professeur d’université et l’école lui donne une année sabbatique pour terminer son travail important.

L’une des plus grandes déceptions de la nouvelle maison est que Meg et Molly devront partager une chambre. La situation provoque immédiatement des conflits car Molly est toujours aussi soignée qu’une épingle et Meg est du côté du désordre. Il existe d’autres différences entre les filles. Molly est belle et populaire et personne ne se souvient de l’époque où elle n’avait pas de petit ami. Meg est timide et studieuse et réussit bien à l’école mais pas socialement. Elle envie sa belle sœur même si elle aime être intelligente et différente. Molly veut se marier jeune et avoir six enfants. Meg n’a même jamais pensé au mariage. Elle veut être écrivain, artiste ou photographe. Molly est tellement en colère contre le mauvais ménage de Meg qu’elle trace une ligne à la craie au centre de la pièce et met Meg au défi de passer à ses côtés.

Malgré leurs différences, les filles s’aiment et prennent soin les unes des autres. Molly encourage Meg dans ses activités. Elle pense que Meg est particulièrement douée en photographie. Molly s’adapte à la nouvelle école et en un mois elle est devenue pom-pom girl, s’est fait beaucoup de nouveaux amis et a un joli petit ami. La seule chose notable qui arrive à Meg, c’est qu’un garçon de sa classe commence à l’appeler Nutmeg et ça colle. Meg s’aventure un jour dans les champs et croise un vieil homme qui travaille sur son camion devant une petite maison. Il s’avère que c’est Will Banks, le gentil et gentil veuf de 70 ans, qui possède le terrain et les maisons qui s’y trouvent. Meg et Will s’entendent bien et deviennent amis. En fait, elle l’intéresse à la photographie.

Un jeune couple, Ben et Maria, loue une des autres maisons du terrain. Ils deviennent de bons amis avec Meg et Molly. Maria attend leur premier enfant et Molly est ravie à cette perspective. Molly attrape la grippe en plein hiver et a de nombreux saignements de nez. Mais les saignements de nez ne s’arrêtent pas et Molly doit être emmenée à l’hôpital. Molly reste à l’hôpital pendant une période prolongée pendant qu’elle subit une batterie de tests. Lorsqu’elle rentre chez elle, elle est pâle, plus maigre et ses beaux cheveux blonds tombent.

Charles et Lydia ne disent pas à Meg à quel point l’état de Molly est grave. Son état continue de se détériorer et même s’il y a de nombreux signes indiquant que Molly s’estompe, Meg suppose qu’elle ira bien et qu’elle se rétablira. Molly ne répond pas aux médicaments qui lui sont administrés et doit être de nouveau transportée d’urgence à l’hôpital un jour. Elle ne revient jamais. Même si sa sœur manque à Meg et que sa vie ne sera plus jamais la même, il y a une nouvelle vie dans le quartier. Maria a un petit garçon et Meg est autorisée à le photographier pendant sa naissance. Et elle est aussi la première à le détenir. Il y a aussi une nouvelle vie chez Will. Il devient si doué en photographie que ses photos sont présentées dans une exposition au musée universitaire.

Lorsque Meg se promène dans la forêt avec Will pour voir une fleur qui est la dernière à fleurir de la saison, elle imagine sa belle sœur dans les hautes herbes, cueillant des fleurs sauvages. Will voulait montrer à Meg cette fleur spéciale parce que, comme elle, elle fleurissait tardivement.

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