Mohamed Samak, ancien entraîneur de hockey de 42 ans, est accusé d’avoir poignardé sa femme, Joanne, de 49 ans, dans leur lit à Droitwich Spa. Il nie les accusations, soutenant qu’elle s’est suicidée. Les procureurs avancent que Samak avait des raisons financières et personnelles pour vouloir sa mort, et des preuves indiquent qu’il était en contact avec une autre femme. Des témoignages de proches réfutent l’idée que Joanne avait des problèmes mentaux.
Accusations contre Mohamed Samak
Un ancien entraîneur de hockey, Mohamed Samak, âgé de 42 ans, est accusé d’avoir poignardé sa femme, Joanne Samak, âgée de 49 ans, dans leur lit à Droitwich Spa, dans les premières heures du 1er juillet 2024. Lors de son procès, il a nié toute responsabilité dans la mort de sa femme, affirmant qu’elle s’était suicidée. La police de West Mercia a découvert Joanne avec des blessures mortelles, et les procureurs soutiennent que Samak tentait de faire passer sa femme pour une « alcoolique incontrôlable » afin de justifier son récit. Samak aurait attendu plus d’une heure avant de contacter les services d’urgence, laissant entendre qu’il avait agi de manière suspecte.
Contexte du meurtre
Les procureurs ont expliqué que Mohamed Samak avait des raisons financières et personnelles de vouloir la mort de sa femme. Ancien entraîneur pour le collège Malvern, où il gagnait un salaire de 57 000 £ par an, il avait également des dettes. Joanne, qui était sur le point de démarrer un nouveau travail en design d’intérieur le jour de sa mort, était considérée comme la principale source de revenus du ménage. De plus, des preuves ont montré que Samak était en contact avec une autre femme, ce qui a soulevé des soupçons quant à ses motivations. Des témoignages d’amis et de la famille de Joanne ont contredit l’idée qu’elle souffrait de problèmes mentaux, affirmant qu’elle était heureuse et pleine de projets pour l’avenir.