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CALGARY — La Commission des libérations conditionnelles du Canada estime qu’un homme qui a agressé une jeune femme enceinte et l’a laissée pour morte demeure trop dangereux pour être libéré dans la communauté.
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Albert Muckle a plaidé coupable d’agression sexuelle aggravée et de tentative de meurtre lors de l’attaque de 2005 contre l’employée d’un hôtel de Banff, en Alberta.
Il a été déclaré délinquant dangereux et condamné à une peine d’emprisonnement à durée indéterminée.
La femme reste dans un état végétatif persistant, incapable de parler ou de bouger.
Lors de son audience de libération conditionnelle en Colombie-Britannique, Muckle a d’abord déclaré qu’il se sentait mal à l’aise de parler de l’attaque, puis a nié avoir jamais admis un quelconque acte répréhensible.
Muckle a également déclaré au panel de deux membres qu’il n’avait aucun plan de libération et qu’il envisageait de se suicider.
Son agent de libération conditionnelle a déclaré que Muckle avait fait des progrès et qu’il avait été transféré il y a deux ans dans une prison à sécurité moyenne.
Mais l’agent a déclaré qu’il présentait toujours un risque élevé de récidive violente et un risque moyen de violence sexuelle.
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