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Le garçon était assujetti à un article du Code criminel qui autorise un engagement à ne pas troubler l’ordre public s’il y a des craintes que la personne puisse commettre une infraction terroriste.
Il a comparu cet après-midi dans une salle d’audience de Calgary avec son avocat et sa famille.
Cpl. Courtney Currie, de l’Équipe intégrée de la sécurité nationale de la GRC, a témoigné qu’une évaluation de la menace a déterminé qu’il présente un faible risque de commettre une attaque terroriste, mais un risque élevé de se joindre à un groupe extrémiste et de jouer un rôle de soutien.
La juge Jennifer Shafton a accédé à la demande et imposé une série de restrictions aux libertés de l’élève de 10e année, notamment se présenter régulièrement à un agent de probation, ne pas s’associer à quiconque lié à un groupe terroriste et ne pas utiliser de plateformes de médias sociaux.
Plus tôt vendredi, un garçon de 16 ans arrêté en décembre dans le cadre de la même enquête a fait une brève comparution dans la même salle d’audience avec son avocat et son père.
Son dossier a été reporté à la fin du mois.
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