On ne sait pas comment une éventuelle acquisition d’Ubisoft pourrait affecter ses jeux, le cas échéant, mais les employés actuels et anciens d’Ubisoft ont également déclaré à Kotaku que l’éditeur rencontrait actuellement des problèmes de production, comme en témoignent plusieurs retards, entre autres.
Ces problèmes, combinés à la baisse des cours des actions (qui sont passés de 110 dollars par action en juillet 2018 à 41 dollars aujourd’hui) conduiront probablement à une vente, ont indiqué les sources.
Ubisoft, dirigé par le PDG Yves Guillemot, s’est battu et a finalement gagné contre une tentative de rachat hostile par la puissance française du divertissement Vivendi en 2018, et la famille Guillemot détient toujours la plus grande participation dans l’entreprise à 15 %.
S’exprimant lors du dernier appel aux résultats d’Ubisoft, Guillemot a déclaré qu’Ubisoft était ouvert à l’examen de toute offre d’achat de l’éditeur et n’a ni confirmé ni nié qu’il avait été approché par des acheteurs potentiels.
L’acquisition de développeurs est devenue une stratégie majeure pour les titans de l’industrie du jeu comme PlayStation et Xbox ces dernières années, les deux sociétés ne montrant aucun signe de ralentissement.
L’accord d’Activision Blizzard par rapport à d’autres acquisitions majeures
L’achat d’Activision Blizzard par Xbox pour 68,7 milliards de dollars sera l’un des plus importants de l’histoire du divertissement lorsque l’accord sera conclu, le mettant à égalité avec l’achat par Disney de 21st Century Fox pour 71,3 milliards de dollars et juste avant l’achat de Time Warner par AT&T pour 85,4 milliards de dollars.
Sony, d’autre part, a acquis Bungie en février, l’ajoutant à la liste de plus d’une demi-douzaine d’autres studios achetés depuis l’année dernière.
Ryan Dinsdale est un pigiste de l’IGN qui se souvient parfois de tweeter @thelastdinsdale. Il parlera de The Witcher toute la journée.