Combattant multijoueur identifié comme l’un des trois titres en conserve
Ubisoft a confirmé que son héros en ligne, provisoirement connu sous le nom de « Projet Q » est l’un des trois jeux dont la production a été interrompue à la suite d’une année financièrement infructueuse pour l’éditeur.
Dans une déclaration faite à Eurogamer ce matin, un porte-parole d’Ubisoft a confirmé que le Projet Q l’équipe de développement a été réaffectée à d’autres efforts / projets au sein du studio, annulant ainsi tout progrès supplémentaire sur le jeu de tir PvP, qui a été annoncé pour la première fois en avril 2022. Les seuls actifs publics pour Projet Q à ce jour se compose d’une seule pièce d’art splash, parallèlement à l’insistance d’Ubisoft sur le fait que le jeu n’était pas un titre de bataille royale, ni un projet NFT.
Donc, nous avons entendu que vous avez entendu… ?
Présentation du nom de code « Project Q », une arène de combat en équipe permettant aux joueurs de vraiment s’approprier l’expérience ! Le jeu est en début de développement et nous continuerons à tester, donc pour l’instant tout ce que vous pouvez faire est de vous inscrire aux tests à venir : https://t.co/TMRKwiUzbJ pic.twitter.com/hZ40OkPdum
– Ubisoft (@Ubisoft) 23 avril 2022
Ubisoft a annoncé la semaine dernière qu’il annulait trois titres en développement, ainsi qu’un autre retard pour son aventure basée sur les pirates Os du crâne. Ces annonces auraient été accompagnées d’un e-mail au personnel du PDG d’Ubisoft, Yves Guillemot, dont les commentaires ont apparemment formé la base d’un débrayage du personnel, qui se tiendra au studio Ubisoft Paris le 27 janvier.
« A plusieurs reprises, M. Guillemot tente de rejeter la faute (encore une fois) sur les salariés ; il attend de nous que nous soyons mobilisés, pour ‘tout donner,’ être ‘aussi efficace et léger que possible‘, » a écrit le syndicat Solidaires Informatique du courrier électronique. « Ces mots veulent dire quelque chose : heures supplémentaires, pression managériale, burn-out, etc. M. Guillemot demande beaucoup à ses employés, mais sans aucune compensation.
« Et parce que M. Guillemot et sa clique ne comprennent que les rapports de force, Solidaires Informatique appelle les salariés d’Ubisoft Paris à faire grève. »