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Killing the Rising Sun de Bill O’Reilly et Martin Dugard n’est pas seulement l’histoire de la façon dont l’Empire du Japon a été vaincu à la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais pourquoi il a fallu les bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki pour y parvenir. Sans passer sous silence la terreur des bombardements eux-mêmes, les auteurs soutiennent que l’alternative aux bombes A était une invasion du Japon qui aurait coûté la vie à un million d’Américains et aurait peut-être nécessité une présence russe soviétique au Japon. Au lieu de cela, grâce à la bombe, les auteurs soutiennent que l’Amérique a sauvé la vie de son propre peuple, a tenu les communistes hors du Japon et a reconstruit son ancien ennemi en un allié important.
O’Reilly et Dugard commencent par les batailles américaines et japonaises sur les territoires que les Japonais avaient occupés pendant leur expansion d’avant-guerre et de guerre. Bien que dépassés en nombre et en armes, les Japonais se sont néanmoins révélés un ennemi extraordinairement difficile à vaincre, prêts à se battre jusqu’à la mort et à commettre des atrocités indicibles, tant militaires que civiles. Ce faisant, les auteurs établissent à la fois la responsabilité du Japon dans l’issue de la guerre, mais aussi l’alternative terrifiante qu’une invasion aurait pu représenter, si l’ensemble de la population avait embrassé cette volonté de se battre jusqu’au bout.
Alors que l’empire japonais reculait et que l’invasion se profilait, le livre se concentre sur les choix de Harry Truman et les efforts du mystérieux J. Robert Oppenheimer, le scientifique exerçant son esprit et son corps pour développer l’arme qui pourrait mettre fin à la guerre plus tôt. Malgré les revers et sa propre santé défaillante, Oppenheimer a supervisé avec succès les tests de la première arme atomique, qui a ensuite été transmise à l’armée dans le Pacifique pour être utilisée. Face à la résistance continue des Japonais face au refus de leur gouvernement de se rendre, les bombes ont été déployées sur Hiroshima et Nagasaki, et les conséquences étaient trop importantes même pour un empereur japonais qui avait convaincu son peuple qu’il était un dieu à ignorer.
Le livre soutient que les bombardements, aussi terribles qu’ils aient pu être, ont finalement sauvé de nombreuses vies, y compris celle du propre père d’O’Reilly. Il présente la volonté de Truman de mettre fin à la guerre par des décisions controversées comme un exemple à suivre, tout en critiquant ceux qui auraient lancé l’invasion du Japon pour faire avancer leur propre carrière. Cela se termine par la victoire des États-Unis, la reconstruction du Japon et des millions de jeunes Américains reconnaissants d’avoir survécu à la guerre la plus dévastatrice que le monde ait jamais connue.
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