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SAINT-HYACINTHE, Qué. — Le premier ministre Justin Trudeau dit espérer pouvoir annoncer une décision concernant une enquête publique sur l’ingérence étrangère dans les prochaines semaines, mais il accuse les conservateurs de bloquer le processus.
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Trudeau a déclaré aux journalistes qu’un accord entre les partis est nécessaire sur la structure de l’enquête et sur qui est le mieux placé pour la diriger.
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Le chef conservateur Pierre Poilievre a déclaré que son parti ne coopérerait sur ces détails qu’après que Trudeau aura confirmé qu’une enquête serait menée.
Trudeau affirme que les négociations qui ont débuté en juin avec le Bloc québécois et le NPD sur une éventuelle enquête se déroulent bien, mais que les conservateurs bloquent le consensus nécessaire.
En mars, Trudeau a délégué l’ancien gouverneur général David Johnston pour enquêter sur les allégations selon lesquelles le gouvernement chinois aurait tenté de s’ingérer dans les deux dernières élections fédérales et pour décider si une enquête publique devait être déclenchée.
Johnston, qui s’est opposé à une enquête, a démissionné début juin au milieu d’allégations de partis d’opposition selon lesquelles il était trop proche de Trudeau pour être objectif.
Un porte-parole conservateur n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
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