dimanche, novembre 17, 2024

Trois des cinq agresseurs arrêtés après une violente attaque de jeunes en Colombie-Britannique (police)

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KELOWNA, Colombie-Britannique — La police déclare avoir identifié cinq agresseurs lors d’un violent essaim de jeunes filmé vendredi à Kelowna, en Colombie-Britannique.

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Un communiqué de la GRC indique que ces cinq jeunes faisaient partie d’une trentaine de jeunes qui se trouvaient à Gyro Beach, sur le lac Okanagan, lors de l’attaque contre une jeune fille, qui a été blessée.

La police montée affirme avoir arrêté trois des agresseurs, qui ont depuis été libérés sous « conditions strictes » et surveillées pour garantir leur respect.

La police demande également aux gens de cesser de partager la vidéo de l’agression, qui a circulé en ligne, la qualifiant de dégradante et humiliante pour la victime.

La vidéo montre une fille attrapant la victime et la poussant au sol avant qu’une autre femme ne la frappe à plusieurs reprises à la tête, tandis que d’autres dans la foule donnent des coups de pied à la fille puis rient alors qu’elle reste immobile sur le sol.

Une déclaration du sergent de la GRC. Laura Pollock affirme que deux jeunes ont appelé la police et tenté d’intervenir pendant l’agression.

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Il indique que ces jeunes « ont fait preuve de compassion et ont pris la bonne décision » parmi plus de 30 autres personnes qui « se tenaient là, regardaient et prenaient des vidéos ».

La police affirme travailler avec des partenaires, notamment la ville de Kelowna, le district scolaire et le ministère de l’Enfance et du Développement familial de la Colombie-Britannique, pour élaborer une « approche d’intervention précoce et de prévention » afin d’identifier et de connecter les jeunes à risque aux services de soutien.

« Collectivement, en tant que parents, éducateurs, forces de l’ordre, travailleurs de soutien et partenaires de notre communauté, il est de notre responsabilité de poursuivre la conversation et les efforts visant à mettre fin à la criminalité chez les jeunes », indique le communiqué.

« Nous savons qu’il existe une relation distincte entre les jeunes qui commettent la majorité des crimes violents et ceux qui ont subi une forme de traumatisme, d’abus, d’intimidation et de diagnostic de santé mentale à un jeune âge », ajoute-t-il.

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