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Des vidéos montrant des foules massives faisant la queue pour les salons de l’emploi dans la région du Grand Toronto et ailleurs en Ontario montrent à quel point le marché du travail est devenu difficile.
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Avec un minimum de postes à pourvoir et des centaines, parfois des milliers, de personnes en compétition pour ces quelques postes, cela a été une tâche ardue pour les employés potentiels.
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La LCBO a lancé un appel à recrutement d’employés d’entrepôt à London, en Ontario, et même si la liste de l’événement ne précisait pas le nombre de postes qu’elle prévoyait de pourvoir samedi, elle a permis aux candidats pleins d’espoir d’être « embauchés sur-le-champ ».
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Les responsabilités liées à ce rôle comprennent la manipulation, le levage, la préparation et l’expédition des caisses en toute sécurité, soit manuellement, soit en utilisant un équipement de manutention.
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La LCBO a encouragé les étudiants et les personnes à la recherche d’un deuxième emploi à postuler en donnant aux candidats retenus la possibilité de travailler pendant des quarts de travail de jour, d’après-midi, de soir ou occasionnellement la fin de semaine, ce qui leur donnerait la possibilité de « travailler dans un autre emploi, d’être en famille et/ou d’avoir du temps pour étudier. .»
Le résultat était une ligne désordonnée et insistante pour ceux qui cherchaient désespérément à remettre leur curriculum vitae entre de bonnes mains.
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Plus tôt ce mois-ci, un événement d’embauche dans un nouveau restaurant haut de gamme à Mississauga a montré une autre foule nombreuse en lice pour des postes chez Mishree Cocktails and Cuisine.
L’établissement a eu la gentillesse de fournir du thé chai à ceux qui attendaient d’être vus.
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Le même jour, une autre entreprise, Tire Hotel à Woodbridge, cherchait à recruter du personnel pour son entrepôt de stockage de pneus et a montré une file massive de personnes attendant leur tour pour briller.
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Les commentaires négatifs étaient destinés aux travailleurs potentiels, la plupart supposant qu’il s’agissait d’une mer d’étudiants internationaux essayant d’obtenir la vie meilleure qu’ils pensaient obtenir ici.
Mais le gouvernement libéral fédéral a également reçu sa part de critiques, beaucoup accusant le premier ministre Justin Trudeau de l’état du marché du travail canadien et de la hausse du coût de la vie.
« Chaque jour, vous avez l’opportunité d’être la 500ème personne parmi les candidats à un emploi au salaire minimum », a écrit une personne sur les réseaux sociaux.
Un autre a ajouté : « Cela fait des merveilles pour la réputation du Canada en tant que terre d’opportunités. »
Une deuxième personne l’a décrit comme « triste », écrivant : « Ils viennent ici pour une vie meilleure pour eux-mêmes et leur famille et le Canada ne peut même pas leur offrir cela. Ils sont juste utilisés pour les votes… ça me rend triste parce qu’ils sont aussi humains.
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