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Carl Phillips, l’auteur de « All It Takes », est l’une des étoiles montantes les plus rapides du monde littéraire. Dès son premier recueil de poèmes en 1992, Dans le sangà travers son septième recueil, Le reste de l’amourpublié en 2004, a remporté de nombreux prix et distinctions. Bien qu’il soit souvent loué pour son traitement des thèmes noirs et homosexuels qui sont au cœur de son identité, l’œuvre de Phillips est généralement profondément imprégnée d’allusions classiques et d’images complexes qui permettent à ses lecteurs de voir ce qu’ils connaissent avec un nouveau sens de l’illumination.
Dans « All It Takes » (extrait du livre Le reste de l’amour), Phillips explore les choses du monde physique qui ne peuvent être observées directement – ces choses qui ne sont connaissables que par, comme il le dit, « les effets visibles par lesquels nous les connaissons ». Le poème passe avec aisance de l’observation d’événements courants à la réflexion sur ces événements peu communs (comme les dernières baies accrochées à une vigne mourante en hiver) pour suggérer que ce que nous savons du monde n’est rien de plus que ce que les cultures anciennes savaient lorsqu’elles élaboraient leurs propres mythologies. Bien que ces idées puissent orienter un poète moins autoritaire dans des directions différentes, Phillips reste sur la bonne voie, faisant de « All It Takes » une méditation rêveuse sur la nature de la réalité.
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