Les marchés publics se sont peut-être refroidis sur les fintechs ces derniers mois, mais pour les entrepreneurs qui envisagent toujours de se lancer, « les perspectives sont bonnes », selon le Magic 8 Ball.
En 2021, un tiers de toutes les licornes créées étaient des sociétés de technologie financière : l’investisseur FOMO, l’utilisation accrue des paiements numériques, la BNPL et d’autres services financiers ont créé un champ gravitationnel qui a attiré plus d’un VC sur cinq dollars investis l’année dernière.
Mais ces données sont disponibles partout. Ce que les fondateurs veulent vraiment savoir, c’est : que recherchent les investisseurs en ce moment?
Pour le savoir, la journaliste fintech Mary Ann Azevedo a contacté plusieurs investisseurs fintech actifs pour entendre leurs réflexions sur l’état du marché au premier trimestre 2022.
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« Chaque répondant a eu la gentillesse de nous faire savoir comment il voulait être présenté, et pour les sourires, l’un d’eux a partagé un exemple d’un e-mail froid qui a fonctionné », écrit-elle.
Voici qui nous avons interrogé :
- Anish Acharya, associé général, a16z
- Christina Melas-Kyriazi, associée, Bain Capital Ventures
- Ethan Choi, associé, Accel
- Pete Flint, associé général, NFX
- Munish Varma, associé directeur, SoftBank Investment Advisers
- Nigel Morris, associé directeur, QED Investors
- Tyler Griffin, co-fondateur et associé directeur, Financial Venture Studio
- Nikhil Sachdev, directeur général, Insight Partners
- Mark Fiorentino, associé, Index Ventures
- Sheel Mohnot, associé général, Better Tomorrow Ventures
« Crypto est apparu plus d’une fois, et LatAm est chaud, chaud, chaud en ce qui concerne l’intérêt des investisseurs », a-t-elle constaté.
L’enquête comprend de nombreux points précieux pour les autres investisseurs, mais nous l’avons rassemblé principalement pour aider les entrepreneurs et les fondateurs de la fintech, donc si vous envisagez de démarrer dans ce secteur, ou connaissez quelqu’un qui l’est, veuillez lire et partager.
Nous serons en congé le lundi 21 février à l’occasion de la Journée des présidents aux États-Unis. Merci beaucoup d’avoir lu TechCrunch + et passez un excellent week-end.
Walter Thompson
Rédacteur en chef, TechCrunch+
@votreprotagoniste
3 clés qui débloquent la collecte de fonds basée sur les données
Crédits image : Mario Marco (Ouvre dans une nouvelle fenêtre) /Getty Images
C’est un moment opportun pour lancer une nouvelle entreprise, mais la hausse des taux d’intérêt, l’inflation et tout autre nombre de facteurs inconnus pourraient rendre les investisseurs plus judicieux lorsqu’il s’agit de placer des paris.
Mais les fondateurs axés sur les données qui peuvent raconter une belle histoire avec les bonnes mesures sont beaucoup plus susceptibles d’attirer l’attention d’un investisseur, selon Blair Silverberg, co-fondateur et PDG de Hum Capital.
« Malheureusement, de nombreuses entreprises ne disposent pas d’un moyen efficace de collecter, synthétiser et interpréter les données en informations en temps réel, ce qui se traduit par une dépendance par défaut à des échantillonnages statiques basés sur Excel qui peuvent ne pas capturer l’image complète du potentiel de votre entreprise », dit-il.
Les capital-risqueurs ont-ils sous-évalué les startups pendant des décennies ?
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Voici quelque chose dont les gens de la technologie n’aiment pas parler : il n’y a pas beaucoup de mémoire institutionnelle dans cette industrie.
Par exemple, de nombreux fondateurs qui ont clôturé les cycles de financement l’année dernière pensent que lorsqu’il pleut, il pleut à verse, mais cela n’a pas toujours été le cas.
En fait, les startups en phase de démarrage lèvent des capitaux à un niveau et des valorisations plus élevés aujourd’hui que leurs homologues en phase de démarrage il y a dix ans.
Mais ces startups plus anciennes étaient-elles sous-évaluées ou la dynamique du marché a-t-elle dicté leur tarification ?
Suite à une analyse approfondie des nouvelles données de PitchBook, Alex Wilhelm rapporte qu’il pourrait s’agir d’un mélange des deux :
« Il semble que plus de concurrence ait aidé à débloquer un prix de marché plus juste – oui oui, ironie – et que les startups en aient maintenant pour leur argent plus tôt. »
Transformez les investisseurs en startups en spécialistes du marketing de croissance sans qu’ils ne s’en aperçoivent
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Votre startup pourrait-elle utiliser plus de support marketing ?
La plupart des entreprises retarderont le plus longtemps possible l’embauche d’une entreprise de croissance à temps plein, s’appuyant plutôt sur une société de relations publiques pour renforcer leur présence publique, mais cela laisse une ressource essentielle inexploitée : les investisseurs.
Selon Miles Jennings, fondateur et COO de Recruiter.com, les investisseurs amplifieront volontiers vos messages, mais seulement si vous les rendez partageables et engageants.
Dans un article pour TC+, Jennings partage six conseils qui peuvent aider à transformer les investisseurs en défenseurs qui serviront d’extension à votre équipe marketing.
La fronde pandémique d’Airbnb touche à sa fin
Signez avec le message « Veuillez vous enregistrer » au siège de la société de technologie de location à court terme Airbnb dans le quartier South of Market (SoMa) de San Francisco, Californie, le 13 octobre 2017. SoMa est connu pour avoir l’une des concentrations les plus élevées d’entreprises technologiques et de startups de toutes les régions du monde. (Photo par Smith Collection/Gado/Getty Images)
La pandémie a été particulièrement difficile pour les entreprises de voyage et d’hôtellerie, et pour Airbnb, elle a été presque catastrophique.
Mais l’entreprise a depuis rebondi grâce à la recrudescence de la demande d’hôtellerie et de tourisme, et à un certain nombre de changements favorables à ses politiques d’accueil, au point qu’elle représente « des centaines de millions de dollars de revenus au quatrième trimestre plus élevés qu’en 2019, quand il a affiché 1,11 milliard de dollars de chiffre d’affaires total », écrit Alex Wilhelm.
Pourquoi les startups peuvent vouloir louer du matériel au lieu de l’acheter
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L’avenir du travail est encore en cours d’écriture, mais en attendant, chaque startup doit encore mettre de l’argent de côté pour obtenir des ordinateurs portables, des moniteurs et des choses sur lesquelles les employés peuvent s’asseoir.
Au cours des deux années qui se sont écoulées depuis que la pandémie a commencé à disperser les employés de bureau, de nombreuses entreprises louent désormais du matériel essentiel dans un souci de flexibilité, d’optimisation des déductions fiscales et d’évolutivité, rapporte Anna Heim.
Dans un article bien documenté, elle passe en revue les avantages et les inconvénients de la location de matériel, ainsi que les implications fiscales pour les entreprises basées en Europe et aux États-Unis.
Comment augmenter le trafic organique avec les médias acquis
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Peu d’entrepreneurs sont des conteurs nés, et il est peut-être injuste de s’attendre à ce qu’ils fassent mieux.
De nombreuses startups paient à une agence de relations publiques une provision mensuelle de 10 000 $ ou plus, mais leurs chances d’obtenir une histoire sur leur entreprise ne sont pas bien meilleures que de faire tourner une roue de roulette.
Selon Amanda Milligan, responsable du marketing chez Stacker Studio, les startups peuvent augmenter le trafic organique et améliorer le référencement en développant un contenu digne d’intérêt qui sera repris et partagé par les médias.
Dans un tutoriel TC+ classique, elle explique comment créer des médias gagnés qui améliorent de manière organique les mots-clés de classement, les domaines de référence, les clics et d’autres mesures SEO clés.
Chère Sophie : Devrions-nous demander un visa K-1 ou une carte verte basée sur le mariage ?
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Chère Sophie,
Je suis un citoyen américain qui vit et travaille temporairement en Allemagne depuis un an.
Je me suis fiancée le mois dernier à mon incroyable partenaire – un citoyen allemand – mais je dois maintenant retourner aux États-Unis dans quelques mois pour travailler.
Dois-je obtenir un visa K-1 pour ma fiancée afin qu’elle puisse m’accompagner à mon retour aux États-Unis, ou devrions-nous nous marier et vivre séparément jusqu’à ce qu’elle puisse obtenir une carte verte et me rejoindre aux États-Unis ?
—Recherche d’une solution rapide
Comment trouver un emploi en tant que scout pour une société de capital-risque
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Pas de mensonge : certains investisseurs en capital-risque sont aussi riches que Crésus et s’enrichissent tout le temps.
Beaucoup sont d’anciens fondateurs, mais même ainsi : devenir un VC n’est pas facile sans les bonnes connexions et l’expérience. Sans une sortie réussie ou un réseau de Stanford, une façon d’entrer par effraction est de travailler comme éclaireur qui trouve des offres.
Le fondateur de Versatile VC, David Teten, et son associé, Akshat Dixit, expliquent ce que signifie travailler comme scout, le potentiel de gain du rôle, le processus de recherche d’emploi et les questions à poser si vous vous retrouvez en entretien.
De plus, les auteurs ont compilé une longue liste d’entreprises de capital-risque qui proposent des programmes de scoutisme : bonne chasse.
Pourquoi vous ne devriez pas ignorer le boom des technologies profondes en Europe
Crédits image : Nigel Susman (Ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Même si la technologie profonde a jeté les bases de nombreuses applications grand public et d’entreprise, les investissements dans ce domaine ont été largement limités aux sociétés de capital-risque spécialisées.
L’espace, cependant, connaît une résurgence, et les VC européens semblent doubler leur conviction que les startups de technologie profonde récolteront des rendements généreux, ont écrit Anna Heim et Alex Wilhelm.
Pour The Exchange, ils ont analysé le rapport d’Angular Ventures sur les investissements de capital-risque dans les entreprises et les technologies profondes en Europe et en Israël, qui a révélé « que les capitaux affluent dans les bons domaines pour qu’un lien européen de technologie profonde, ou un groupe de liens, se forme ».
Itai Damti de l’unité explique comment l’entreprise collecte des fonds en utilisant la culture et la valeur
Crédits image : Unité / Flourish Ventures
La culture est un aspect dont de nombreux fondateurs aiment parler, mais peu ont un plan concret ou une vision de la façon de cultiver l’environnement qu’ils souhaitent.
Pour Itai Damti de Unit, la culture est si importante que lui et le co-fondateur Doron Somech ont rédigé un document que l’entreprise utilise pour communiquer ses valeurs et ses attentes à ses employés.
Emmalyn Shaw, associée directrice chez Flourish Ventures, a déclaré que c’était un facteur clé dans sa décision de soutenir l’entreprise : « Au cours de mes 20 ans et plus, je n’ai jamais vu un document comme celui-ci. »
Dans la dernière édition de TechCrunch Live, Damti et Shaw ont discuté du pitch deck d’Unit, de son format non conventionnel qui place leur expérience au-dessus du produit, et de la manière dont le deck les a aidés à collecter des fonds avec succès.