Torture to Her Soul (Monster in His Eyes, #2) de JM Darhower


VEUILLEZ NOTER: Ce livre reprend là où Monster in His Eyes s’est arrêté, ce n’est pas une répétition du dernier livre du POV de Naz, mais une continuation. (j’espère que ça a du sens)

4.5 ÉTOILES !

Alors si vous avez aimé le premier tome de cette série, Monstre dans ses yeux, tu aurais été aussi extatique que moi quand tu as découvert qu’il y avait un deuxième livre. Tu ne peux même pas commencer à imaginer à quel point j’étais heureux quand j’ai réalisé Torture à son âme, a été dit uniquement à partir du point de vue de Naz. Dans Monstre dans ses yeux, Naz était un mystère, son personnage semblait distant mais il semblait s’adoucir quand il était là, Karissa (sans jeu de mots)


Je n’avais pas l’intention de l’aimer.
Je n’avais même pas prévu de l’aimer.
Mais c’est arrivé… nous sommes arrivés… et j’essaie toujours de trouver comment gérer ça.

J’ai eu un siège au premier rang à la tête de Naz dans ce livre, la façon dont il pensait, sa réaction à chaque coup qu’il faisait, et enfin la façon dont Karissa l’avait changé. Ne pensez pas une seule minute que Naz a soudainement pris conscience. Il fait toujours le travail, peu importe le coût, avec une précision froide. Mais toute la dynamique change quand son travail commence à menacer la femme qu’il aime. Pour la première fois, il commence à interroger le patron, et lui-même…


Les soldats de la rue, voyous cruels qui mentent, trichent, tuent et volent, se dérobent, tandis que la petite Karissa, la moitié de ma taille avec à peine une force physique, n’a jamais hésité à me regarder droit dans les yeux, comme si elle lisait mon âme avec juste un coup d’oeil.

Dans cette histoire qui est aussi le dernier tome de la série, Naz et Karissa vivent ensemble. Naz a proposé dans le livre précédent et Karissa a accepté mais à cause des événements qui ont conduit à la mort de son père et ont poussé sa mère à vivre sa vie en fuite, leur relation ne semble plus aussi sincère qu’elle l’était, du moins pas pour Karissa. Elle aime évidemment toujours Naz, mais le côté qu’il a montré de lui-même l’a également fait craindre. Ils parlent à peine, Karissa regarde rarement Naz.
Naz ne la laissera pas partir.


Elle est aussi foutue que moi.
Et peut-être que je lui ai fait ça.
C’est peut-être mal de ma part.
Mais putain si ça ne va pas comme ça.

Ce livre était assez lourd, pas trop long mais plus long que les autres livres que j’ai lus. Je pense donc que mon seul reproche à ce livre était que je pense que l’auteur aurait dû prendre environ 20 à 30% du début de ce livre et en faire une nouvelle. La raison étant, alors que j’ai apprécié chaque partie de ce livre, le début ou l’introduction manquait de direction. C’était juste beaucoup d’informations et de contexte sur Naz, et aussi sur la lutte de Naz et Karissa pour mettre ce que Naz avait fait derrière eux. Donc, très honnêtement, ces bons ont tous été dans une nouvelle.


Je lui donnerai n’importe quoi.
Je vais déchirer ma putain de poitrine à mains nues, l’arracher et la lui donner, si c’est ce dont elle a besoin.
Elle n’a qu’à me le dire.
Elle n’a qu’à demander.

J’essaie donc de garder cette critique sans spoiler et de ne pas vous dire ce qui se passe réellement. Après avoir été blessé en sortant d’un club une nuit, Naz est obligé de faire quelque chose qu’il n’a jamais voulu faire, car le faire blesserait Karissa. Et avec la pression croissante de son patron et une fuite au milieu, Naz ne sait plus à qui faire confiance. Peut-il faire confiance à la femme qu’il aime, il se retrouve à remettre en question l’organisation qui est là pour lui depuis qu’il a perdu sa famille il y a toutes ces années.


Mon ennemi était mon ennemi jusqu’à ce que je regarde à l’intérieur d’elle et me rende compte que nous n’étions pas si différents après tout.

J’ai été très satisfait de la fin de ce livre, l’intensité sombre des pensées de Naz était quelque chose que j’ai adoré. Il était maussade et parfois presque obsessionnel dans son amour pour Karissa. J’aime ça en héros. C’était sombrement romantique mais n’a pas perdu le caractère granuleux que vous obtenez lorsque vous lisez une véritable histoire de mafia.


Je l’ai déjà dit.
Je le répète.
Je ne suis pas un homme bien.
Je ne le serai jamais.

ARC aimablement fourni par l’auteur en échange d’un examen honnête



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