Top Gun: Maverick – La vidéo complète « Great Balls of Fire » de Miles Teller est enfin sortie

Miles Teller and Monica Barbaro singing in Top Gun Maverick

Top Gun : Maverick peut être un film sur les pilotes de chasse de la marine américaine, mais son principal conflit n’est pas entre des nations en guerre. En fait, le film est si indifférent à la nature de la guerre que le pays ennemi n’est jamais vu. Non, en dehors du conflit habituel du film Tom Cruise de personnes pensant que son personnage n’est pas génial et acceptant qu’il est génial, la principale lutte dans Top Gun : Maverick est entre Maverick et Rooster, le fils de son ancien officier d’interception radar Goose.

Dans l’original de 1986, la mort de Goose consume Maverick de culpabilité, l’empêchant temporairement d’obtenir son diplôme du programme Top Gun ou de piloter une mission dangereuse. Dans Maverick, on apprend que Maverick a promis à la veuve de Goose qu’il empêcherait leur fils Bradley de devenir pilote de chasse. Et pourtant, Bradley se distingue non seulement en tant que pilote de première classe, mais devient également élève de la classe de Maverick dans le film.

Malgré une moustache très prononcée, Miles Teller ressemble peu aux acteurs qui incarnaient ses parents dans le film original, Anthony Edwards et Meg Ryan. En fait, la performance maussade et amère de Teller ne porte rien de l’énergie maladroite qu’Edwards a apportée en tant que gars heureux de se tenir dans l’ombre de Maverick.

C’est-à-dire jusqu’à une première scène importante au bar du pilote local, où Rooster dirige les clients dans une interprétation entraînante de « Great Balls of Fire » de Jerry Lee Lewis. Le chant en accompagnement établit Rooster comme étant à la fois arrogant et apprécié de ses amis. Au fur et à mesure que la foule se rassemble (si vous aviez besoin d’un rappel que ce film a été tourné avant la pandémie), Rooster ne fait que devenir plus électrifié, reproduisant le style boogie-woogie sauvage du tueur. Pour Maverick, le moment lui rappelle à nouveau ce qu’il a perdu. Le réalisateur Joseph Kosinski injecte ainsi des images du premier film dans la scène de la version finale de Mavericknous montrant Goose interprétant la même chanson pendant que le jeune Bradley (joué à l’origine par Aaron et Adam Weis) regarde.

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