samedi, décembre 28, 2024

Top 10 des jeux de 2021 de Game Informer

Il y a un moment dans Deathloop où tout clique. Pas un moment précis. C’est probablement à des moments différents pour chaque personne, mais finalement, les joueurs découvriront les divers énigmes et mécanismes du jeu. Deathloop va enfin cliquer.

Ce moment précis à lui seul est presque suffisant pour mériter d’être considéré comme le jeu de l’année.

Le principe de Deathloop est relativement simple : vous êtes Colt, piégé sur l’île Blackreef, qui est elle-même piégée dans une boucle temporelle. Pour sortir de cet enfer, vous devez tuer huit cibles, rompant ainsi la boucle. Vous devez le faire dans les 24 heures. Si vous échouez, vous recommencez.

C’est simple dans l’explication, mais dans l’exécution, méticuleux et compliqué. Au cours des premières heures de Deathloop, vous tâtonnez avec ses armes, ses pouvoirs et ses niveaux complexes, essayant de rester en vie assez longtemps pour atteindre une cible; l’idée de tuer huit personnes ressemble à une chimère enveloppée de vœux pieux.

Avec le temps, cet objectif devient gérable. Et puis finalement, ça clique; toutes les pièces du puzzle glissent en place. Le jeu ne vous gêne plus. Deathloop devient votre terrain de jeu de destruction et d’effusion de sang.

Deathloop excelle dans ce gain mécanique. Voler à travers des niveaux qui ont d’abord pris des heures, commander son action et enfin réussir le casse final est satisfaisant comme peu d’autres jeux le sont.

Après avoir terminé Deathloop, il est difficile de résister à commencer une deuxième partie. Nous voulions voler à travers les premiers niveaux qui nous ont donné tant de maux de tête, en continuant à plier son monde autour de nos doigts. Si vous êtes assez patient pour accepter les règles et les conditions de Deathloop, une fois que le jeu vous donne les clés du château, il n’y a pas grand-chose d’autre que le chaos qui s’ensuit. | Notre avis

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