jeudi, février 20, 2025

Titre : Quand l’apparence et le comportement définissent l’identité : mettons fin aux incohérences woke.

Une femme trans est accusée d’agression sexuelle sur des enfants, soulevant des questions sur l’identité de genre et la justice. Malgré son souhait d’être désignée par des pronoms féminins, l’auteur souligne l’inadéquation de cette approche face aux crimes sexuels. Le texte critique également l’utilisation de pronoms féminins pour des violeurs masculins, arguant que cela nuit à la perception des droits des femmes et des personnes trans respectueuses. Par ailleurs, il aborde des sujets comme un régime alimentaire et le télétravail.

S’il ressemble à un canard, marche comme un canard et cancane comme un canard, alors il est fort probable que ce soit un canard. De la même manière, si une personne ressemble à un homme, se comporte comme un homme et est accusée d’agression sexuelle comme un homme, il ne s’agit pas juste d’une probabilité, mais d’une affirmation claire.

La semaine dernière, une femme trans s’est présentée devant le tribunal, faisant face à des accusations d’agression sexuelle grave envers des enfants, tout en demandant à être désignée par des pronoms féminins. Cette personne a été classée comme femme aux yeux de la loi, simplement parce qu’elle a exprimé ce désir à la police, même si l’agression présumée a été commise avec un pénis.

Je ne peux pas discuter davantage de l’affaire, qui sera jugée plus tard ce mois-ci. Cependant, peu importe l’issue, cela relance le débat autour des personnes trans accusées de crimes sexuels. Par exemple, le double violeur écossais Isla Bryson a été placé dans une prison pour femmes en attendant sa condamnation, et son procès a vu l’utilisation absurde de l’expression « son pénis ». De même, le violeur trans Lexi Secker, condamné à plus de six ans dans une prison pour hommes, a été désigné comme « elle » tout au long de son procès.

Ce serait presque comique si la réalité n’était pas si tragique. Il est impossible qu’une femme puisse commettre un viol avec un pénis. Ce n’est pas une question de transphobie, car je crois fermement que chacun a le droit de s’identifier comme il le souhaite et de recevoir respect et dignité. À moins qu’il ne s’agisse d’un violeur. Les violeurs doivent être traités en fonction de leur sexe biologique au moment de l’agression.

Réflexions sur la Justice

Un violeur, en annihilant toute forme de consentement et de bienveillance chez ses victimes par ses actes abominables, ne peut s’attendre à voir ses droits respectés. Un accusé d’un crime masculin doit être jugé comme un homme. Plus tôt ce mois-ci, les juges ont été informés qu’il était « extrêmement inapproprié » de désigner des violeurs masculins qui s’identifient comme femmes par leurs pronoms préférés. On leur a également conseillé d’utiliser le nom de la personne trans ou de recourir à des pronoms neutres pour réduire l’offense.

Pourquoi la police et nos tribunaux continuent-ils de céder à cette idéologie ? En résumé, les pronoms des violeurs ne devraient pas être pris en compte. Dans un monde où les espaces réservés aux femmes sont de plus en plus menacés, il est temps de cesser de transférer la responsabilité des crimes masculins sur les femmes.

La Langue et la Justice

Il est temps de mettre un terme à l’utilisation abusive de la langue anglaise en désignant des violeurs et des présumés violeurs par des pronoms féminins. C’est un oxymore. En se rendant à cette pression idéologique, la police et les tribunaux nuisent à la grande majorité des personnes trans qui sont bienveillantes et respectueuses.

Ce n’est ni juste ni bien de propager ce faux récit selon lequel les femmes trans seraient des prédateurs. En continuant à parler de « son pénis » et à attribuer des crimes masculins à des femmes, le système judiciaire exacerbe le ressentiment, la colère et la division. Cela nuit à tout le monde.

Un Nouveau Régime Alimentaire

Sur une note plus légère, TIKTOK m’a poussé à essayer un nouveau régime. Aujourd’hui marque le début de mon expérience avec le régime carnivore – une tendance qui promet de résoudre tous les problèmes de santé. Cela signifie dire adieu aux fruits, légumes et noix, et bonjour à une abondance de viande, de beurre et encore plus de viande.

Pour le petit-déjeuner, j’ai opté pour du steak bio et des œufs cuits dans du beurre cru. Mon amie Davinia Taylor, une influenceuse bien-être, jure par ce régime, et ses adeptes affirment qu’il aide à lutter contre l’inflammation, favorise la perte de poids et améliore la santé intestinale. Restez à l’écoute pour voir comment ça se passe.

Réflexion sur le Télétravail

Les parents travaillant à domicile envoient un message à leurs enfants : l’école peut sembler optionnelle, selon le directeur d’Ofsted. Sir Martyn Oliver a averti que la culture du télétravail nuit à l’incitation des enfants à se lever et à agir. Il a déclaré que développer de bonnes habitudes, comme se lever le matin et se préparer pour une journée d’école, est crucial. Il a totalement raison.

Quel modèle de comportement les parents offrent-ils s’ils travaillent tous les deux de chez eux, se contentant de regarder des émissions de télévision tout en jonglant avec des emplois à moitié terminés ?

Crise d’Identité au Parti Travailliste

Le Parti Travailliste traverse une crise d’identité sans précédent. Il semble se comporter davantage comme le « Parti Nasty » que les Tories ne l’ont jamais fait, en exposant des messages internes qui soulèvent des questions sur son avenir.

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