Rassemblement des Amis évoque la perplexité des gauchistes face à la victoire éclatante de Donald Trump aux États-Unis. L’article souligne leur incapacité à comprendre ce succès, contrastant avec l’enthousiasme lors de l’élection d’Obama. Les réactions négatives de personnalités publiques et des médias face à Trump sont mises en avant, tout comme le décalage entre les préoccupations des électeurs et les positions des partis de gauche, qui semblent avoir perdu de vue les attentes du citoyen ordinaire.
Rassemblement des Amis : Une Réflexion sur la Politique Contemporaine
Mes chers amis, il est temps de se réunir et de rire aux éclats des gauchistes égarés qui, en ce moment, semblent perdre le contrôle. Même dans les contrées sauvages des Pennines, je peux entendre les lamentations et les frustrations venant de Londres.
Un Échec de Compréhension
Ce qui est le plus frappant, c’est leur incapacité persistante à comprendre pourquoi Donald Trump a remporté la présidence américaine avec une telle ampleur. Sa victoire a été indiscutable, comme vous l’auriez constaté en allumant ITV, Sky ou la BBC le matin suivant l’élection. Les présentateurs affichaient une atmosphère lugubre, presque comme s’ils portaient un deuil.
Je me souviens de l’élection de Barack Obama, où l’ambiance à la BBC était joyeuse et pleine d’enthousiasme, contrastant fortement avec le désespoir que l’on a pu ressentir récemment. La tendance des chaînes comme la BBC, ITV et Sky à critiquer Trump et ses partisans a été omniprésente durant les semaines précédant l’élection. Leur prévision d’une victoire de Kamala Harris s’est révélée erronée, et aujourd’hui, il est difficile de ne pas sourire en pensant à leur réaction.
Les célébrités, comme Emily Maitlis, ont montré leur déception de manière très visible, tandis que des figures publiques comme Jason Manford exprimaient leur désespoir face à la victoire de Trump. Mais qu’est-ce qui se passe dans leur esprit ? Est-il si difficile d’accepter que d’autres puissent avoir des opinions divergentes ?
Carol Vorderman et d’autres ont également exprimé leur indignation, mais leurs prévisions, tout comme celles de Rory Stewart, se sont révélées infondées. Même le Parti travailliste, dirigé par Sir Keir Starmer, a dû faire face à une réalité difficile, avec de nombreux membres critiquant Trump sans réfléchir aux conséquences de leurs paroles.
Il est évident que la victoire de Trump représente un défi pour notre gouvernement, et ce n’est pas un cas isolé. À travers l’Europe, de nombreux pays votent pour des leaders que les libéraux de gauche jugent inacceptables. Les électeurs veulent réduire l’immigration, qu’elle soit illégale ou même légale, et ils sont fatigués des changements dans leurs communautés et de la pression sur les infrastructures.
C’est ce qui explique la défaite de Kamala Harris et la victoire de Donald Trump : il a su représenter les préoccupations du citoyen ordinaire, celui que ces partis de gauche étaient censés défendre, mais qu’ils ont oublié au fil du temps.