dimanche, décembre 22, 2024

The Western Bounty Hunter par Samuel Ludke – Commenté par Lady Poolitzer

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Il a cessé d’écouter. Le vent se levait et

cela ne pouvait signifier qu’une chose. Son parfum serait

trouvé.

« Merde, je dois bouger. » Le cow-boy a sauté d’un

petit rebord et a atterri sur ses bottes à une courte distance

vers le bas, balayant la vallée en dessous de lui.

Le fusil sur son dos a été balancé et tenu dans le

position prête. Il a armé le marteau comme de la sueur

versé dans ses yeux. Son front brûlé par le travail,

et la graisse s’était agglomérée, la recouvrant comme de la neige.

Des chevaux et beaucoup d’entre eux descendaient le

chemin de terre qui longeait le fond du canyon : ennemis,

pas moins. Ou peut-être des camarades soldats, de toute façon, il doit être

prêt.

Bon sang, il faisait chaud dehors. Le soleil battait

sur son chapeau à large bord. Ses mains nageaient-

ming dans la saleté et la merde de vache, mais qui s’en soucie? Si tu es mort,

vos mains n’ont pas d’importance.

Les chevaux se rapprochèrent beaucoup et ses bottes s’enfoncèrent dans

la saleté, se préparant à tirer s’il en avait besoin.

« Pourquoi avez-vous mis si longtemps ? Sortez et faites-moi face ! »

Ses chuchotements résonnaient sur les parois du canyon, arrêtant le

chevaux du galop.

« C’est qui qui se cache dans l’ombre ? Toi là-haut

sur la colline! »

Il se figea, la voix semblait familière, mais il pouvait

ne soyez pas dupe. Il enfonça ses bottes plus loin dans la terre.

« Est-ce que je parle à un Yankee ? Ou à l’un de ces bas-

tards? » William était le nom de notre homme, bien que les légendes

en débattre.

« Qui est-ce que vous souhaitez que je sois ? » Cette voix était

familier, putain.

« Un ami, peut-être une dame que je pourrais prendre pour mon

épouse. »

« Est-ce qu’une femme vous crierait dessus comme ça ? Je suis un

Américain de pure descendance. »

William leva la tête hors de l’herbe d’automne qu’il

se baissait et regardait les hommes en dessous.

C’étaient des soldats de l’Union. Le commandant

fuma son cigare et leva les yeux avec un sourire.

« Tu vois, mon ami, je suis de pure descendance. »

William rangea son fusil et descendit la colline,

essuyant la sueur de son visage. Le soldat n’avait pas fini

parlant, cependant.

« Tu penses que tu peux courir pour toujours, mon garçon? Quel est ton

histoire maintenant? Vous nous avez fui! »

Guillaume sourit. « J’ai simplement pris des vacances de notre

négociations. Je ne ferai pas ce que vous demandez. »

Les soldats de l’Union riaient et se moquaient dans le dos-

sol.

« Avec une arme comme la tienne, tu peux éliminer n’importe quel homme

d’un seul coup. Pourquoi fuir mon offre ? »

William a souri parce qu’il ne savait pas quoi faire d’autre

faire.

« Vous savez tous que je rapporte mes prix vivants. À quoi bon

le feriez-vous d’un indigène mort ? »

« Vous oseriez refuser le général Mauer ? Votre ancien

et ami de confiance ? William, j’ai besoin de ton aide pour ça ? »

Guillaume éclata de rire. « Je le ramène vivant, c’est tout ! Mon

Seigneur ne me pardonnerait jamais! »

Mauer leva les mains et sourit. « Mais tu as

tué avant ! Plus d’hommes que je ne pouvais en compter. »

Le champ de bataille hantait l’esprit de William.

« Je n’avais pas le choix quand je portais ton uniforme. C’était

tuer ou être pendu pour trahison ou fusillé pour trahison.

Qu’est-ce que cet homme indigène a fait qui vous a tellement intéressé

En lui? »

Mauer a gravi la colline juste un peu plus loin, si près

on pouvait compter les rides sur sa tête. « Il gamin-

fait la sieste du bétail, saccagé la maison d’une dame et de ses

mari, et a tenté de tuer un maréchal de la

États Unis. »

« Et vous pensez que William de nulle part va

tuez cet indigène parce que vous avez fait sonner des pièces

devant ma tête et a demandé mes services ? »

« Qu’est-ce que tu fais d’autre de ta vie? Je t’entends

sont un ivrogne qui erre. Un homme humble sans am-

mordant. Qu’est-ce que je pense? Je pense que l’homme qui vit avec-

en toi supplie d’être libéré. »

« Je gagne honnêtement ma vie. C’est tout ce qu’un homme peut faire. »

Mauer se dirigea vers l’un des soldats les plus proches et

atteint pour une cantine gardée sur le côté du coursier.

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