Test du Sniper Elite 5

Karl looking at a sniper rifle.

Dois savoir

Qu’est-ce que c’est? Un jeu d’action furtif de tireur d’élite.
Attendez-vous à payer 50 $/45 £
Publié 26 mai 2022
Développeur Rébellion
Éditeur Rébellion
Revu le Nvidia GeForce GTX-970, Intel i7-4790K, 16 Go de RAM
Multijoueur ? Oui
Lien Site officiel (s’ouvre dans un nouvel onglet)

Cinq jeux de profondeur, Sniper Elite livre ce que je considère comme son meilleur épisode depuis l’original, en grande partie grâce à l’influence de jeux comme Metal Gear Solid V : The Phantom Pain et le redémarrage de Hitman. Pourtant, un manque de confiance dans sa vanité de tireur d’élite, ainsi qu’une histoire vraiment désastreuse, entraînent un jeu furtif agréable.

Ce n’est probablement pas ce qui préoccupe beaucoup de gens qui viennent à Sniper Elite 5, mais quelqu’un de Rebellion avait l’intention d’entasser de nombreuses cinématiques dans cette chose et elles sont toutes, sans exception, plus ternes que les yeux morts des nazis laissés dans le sillage du protagoniste. Karl Fairburne. Ce commando et tireur d’élite macho américain est un homme bourru du jeu vidéo si générique qu’il a l’impression de ne même pas avoir atteint la fin de la chaîne de montage de l’usine où ils fabriquent ces hommes à l’emporte-pièce. Il n’est pas impossible d’imprégner une machine à tuer nazie de vie intérieure et de profondeur – BJ Blazkowicz de Wolfenstein est subversif avec son puits d’introspection. Karl, cependant, est passe-partout, et tout ce qu’il dit me submerge comme un bruit blanc.

(Crédit image : Rébellion)

Enfin tout sauf ces moments de comédie involontaire, comme au début du jeu où, après avoir vu leur sous-marin détruit, Karl prononce des « bâtards nazis » tandis qu’un accordéon triste joue. Accordéons ! Trouver? Parce que ça se passe en France !

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