Ce jeu a été initialement présenté dans le cadre de notre série Nindie Round Up qui cherchait à couvrir un éventail plus large de jeux Switch eShop au-delà de nos critiques standard. Afin de rendre nos impressions plus faciles à trouver, nous présentons le texte original ci-dessous dans notre format de mini-critique.
Dreamwalker, un jeu de réflexion et d’action basé sur les rêves et de style dessin animé, est sorti sur DSiWare en 2011. Vous y dirigez un personnage à travers ses rêves afin d’atteindre le soleil à la fin du niveau en déplaçant des blocs de nuages, en le faisant naviguer à travers divers dangers, notamment des réveils et des cauchemars qui arrêteront sa progression.
Dreamwalker est un autre jeu qui tombe dans la catégorie « adapté aux smartphones » et qui manque de substance pour justifier une sortie complète sur console ; c’est un jeu de plateforme et de réflexion assez ennuyeux qui ne fait rien de vraiment nouveau ou d’inspiré et qui semble mal à l’aise dans sa propre peau.
Le jeu est également basé sur le temps, avec un compteur géant en haut de l’écran indiquant le temps qu’il vous reste. Pour être honnête, cela peut conduire à un gameplay de plus en plus frénétique à certains moments, car de plus en plus de dangers apparaissent, vous obligeant à réorganiser rapidement les plateformes ou à risquer d’être transporté au début de l’étape, mais ce n’est tout simplement pas si engageant dans l’ensemble. Il faut un type de jeu spécial pour rendre un simple jeu de puzzle basé sur des niveaux constamment amusant et intéressant et, malheureusement, Dreamwalker ne fait pas l’affaire.
Les visuels sont également ennuyeux, avec une bande-son qui sonne comme un stock et une esthétique typique du style dessin animé du samedi matin qui n’est pas agréable à regarder pendant de longues périodes. Cela conduit malheureusement à un package qui condamne Dreamwalker à une obscurité médiocre ; il fait ce qu’il fait assez bien pour ne pas être considéré comme un terrible jeu, mais le manque de quelque chose de particulièrement engageant ou de nouveau le rend difficile à recommander pour plus de 15 minutes de divertissement abrutissant.