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Des millions d’Américains travaillent à temps plein, toute l’année, pour des salaires de misère. En 1998, Barbara Ehrenreich décide de les rejoindre. Elle a été inspirée en partie par la rhétorique entourant la réforme de l’aide sociale, qui promettait que tout emploi équivaut à une vie meilleure. Mais comment peut-on survivre, et encore moins prospérer, avec 6 à 7 $ de l’heure ? Pour le savoir, Ehrenreich a déménagé de la Floride au Maine au Minnesota, prenant les logements les moins chers disponibles et acceptant un travail de serveuse, femme de chambre, femme de ménage, aide en maison de retraite et vendeur Wal-Mart. Elle a vite découvert que même les occupations « les plus modestes » exigent des efforts mentaux et physiques épuisants. Et un emploi ne suffit pas ; vous avez besoin d’au moins deux si vous avez l’intention de vivre à l’intérieur.
Nickel and Dimed révèle l’Amérique à bas salaires dans toute sa ténacité, son anxiété et sa générosité surprenante – une terre de grandes boîtes, de restauration rapide et de mille stratagèmes désespérés pour survivre. Immédiatement acclamé pour sa perspicacité, son humour et sa passion, ce livre change la façon dont l’Amérique perçoit ses travailleurs pauvres.
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