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« Stones in My Passway, Hellhound on My Trail », l’une des pièces collectées dans T. Coraghessan Boyle Greasy Lake et autres histoires (1985), a été désigné comme l’une de ses meilleures histoires. Il est centré sur un musicien de blues nommé Robert, une version fictive du célèbre artiste de blues Robert Johnson, lors de la dernière nuit de sa vie. L’histoire incorpore le mythe qui a entouré la vie de Johnson : l’histoire qui a été transmise de génération en génération est que Johnson a vendu son âme au diable afin qu’il puisse jouer du blues mieux que quiconque. En fait, Robert joue mieux que n’importe qui d’autre, mais à la fin de l’histoire, son talent ne peut pas le sauver de son destin. Boyle tisse un portrait complexe et lyrique des dernières heures de l’artiste avec des aperçus de son passé troublé. Cette histoire bien conçue explore les questions du déterminisme, du libre arbitre, des choix et de leurs conséquences, car elle retrace l’incapacité d’un homme à dégager les pierres de son passage ou à secouer le chien de l’enfer de sa piste.
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