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Alice Howland est une professeure de psychologie âgée de 50 ans à l’Université de Harvard. Elle est en bonne forme physique et sent que sa vie est en grande partie sur la bonne voie. Lorsqu’elle commence à oublier des choses, elle attribue cela à une combinaison d’âge, d’horaire chargé et de ménopause. Elle prend rendez-vous avec son médecin qui l’envoie chez un neurologue pour des tests supplémentaires. Alice est dévastée lorsqu’elle apprend qu’elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Elle n’en parle pas à sa famille pendant un moment, mais réalise finalement qu’elle doit le dire à son mari, John. John, professeur et chercheur à Harvard, se consacre à trouver un médicament qui stoppera la progression de la maladie. Il se jette complètement là-dedans pendant qu’Alice continue d’essayer de faire face à sa mémoire défaillante. Elle parvient à se tenir debout jusqu’à la fin du semestre et elle et John passent leur temps libre dans leur maison d’été.
Là, la maladie d’Alice progresse. Elle retourne à l’université à l’automne pour découvrir que certains de ses étudiants se sont plaints de ses performances le semestre précédent. Alice informe son directeur de département de son diagnostic et convient qu’il n’est pas sage pour elle de continuer à enseigner. Elle ressent un énorme sentiment de perte parce que l’enseignement lui a pris du temps et de l’énergie pendant de nombreuses années. Elle a du mal à accepter qu’elle n’est plus enseignante, chercheuse ou mentor.
Alice essaie de s’accrocher à sa nouvelle vie mais peut sentir des morceaux de sa mémoire s’échapper. Elle a vite du mal à se souvenir de sa fille cadette, Lydia. Elle peut accepter d’avoir une fille prénommée Lydia mais a du mal à associer cette information à la jeune femme qui est sa fille. Il y a aussi d’autres luttes, et John insiste pour qu’elle ne coure plus seule. Il prend parfois le temps de courir avec elle mais n’en profite pas et Alice est bientôt obligée d’abandonner cette activité.
Alice n’aime pas abandonner la course parce qu’elle pense que l’exercice régulier peut être la clé pour garder ses souvenirs intacts plus longtemps. Puis John annonce qu’on lui a proposé un poste prestigieux à New York. Alice ne veut pas bouger mais elle est aussi blessée que John ne prenne pas une année sabbatique pour passer du temps ensemble. Elle sait que ce sera probablement la fin de leur vie ensemble car elle ne parviendra bientôt même pas à reconnaître John. John ne pense pas qu’il puisse rater l’occasion et il semble déterminé à accepter le poste. Les trois enfants d’Alice veulent également qu’elle reste à Boston afin qu’ils puissent aider à prendre soin d’elle. John dit qu’il va embaucher quelqu’un mais les enfants insistent sur le fait que ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour Alice.
Le temps passe et la vie d’Alice devient une série de luttes alors qu’elle essaie de se rappeler comment fonctionner dans sa vie de tous les jours. Des mois plus tard, Alice reste à Boston avec ses deux filles, Anna et Lydia, à proximité. Elle passe la plupart des jours de la semaine avec un soignant. Alice en est venue à réaliser que la femme peut l’aider à fonctionner même lorsqu’elle n’est pas certaine de ce qu’elle doit faire. Elle et le soignant passent du temps dans un parc local, comme ils le font souvent, puis rentrent chez eux où Lydia et Anna attendent avec les jumeaux d’Anna. Même si Alice ne se souvient plus de leurs noms, elle reconnaît un lien avec cette famille et aime passer du temps avec ses petits-enfants.
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