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OTTAWA — Le ministre de l’Environnement, Steven Guilbeault, se rendra en mission diplomatique en Chine plus tard ce mois-ci, alors même que les politiciens d’Ottawa continuent de négocier une enquête publique sur des allégations d’ingérence étrangère.
Guilbeault sera à Pékin du 26 au 31 août dans le cadre de ce qui sera la première visite officielle d’un ministre canadien en Chine depuis 2019.
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Un porte-parole de Guilbeault affirme que le monde est confronté à une « triple crise » du changement climatique, de la pollution et de la biodiversité, qui ne peut être résolue que grâce à une coopération internationale urgente.
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Son bureau a indiqué que le ministre assisterait à une réunion du Conseil chinois pour la coopération internationale sur l’environnement et le développement lors de son séjour à Pékin.
Le bureau de Guilbeault a noté que lui et son homologue chinois, Huang Runqiu, ont renforcé leurs liens lorsque leurs pays ont co-organisé la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique à Montréal en décembre.
Malgré cet exemple de coopération, les relations entre les deux pays sont tendues depuis l’arrestation en 2018 du dirigeant chinois du secteur technologique Meng Wanzhou, qui a conduit à un différend juridique dont les implications en matière de politique étrangère se font toujours sentir.
Correction: La Presse canadienne a rapporté à tort que le prochain voyage du ministre de l’Environnement Steven Guilbeault en Chine serait la première visite officielle d’un ministre dans ce pays depuis 2018. En fait, la ministre du Commerce international Mary Ng s’est rendue en Chine en 2019.
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