Steve Martin a refusé le rôle de Tim Walz dans SNL malgré la demande des fans affirmant qu’il n’est « pas un imitateur »

Saturday Night Live

L’icône de la comédie Steve Martin ne jouera pas le rôle de Tim Walz, le colistier de la vice-présidente Kamala Harris, dans Saturday Night Live (SNL), même si les fans pensent qu’il conviendrait parfaitement.

Après que Harris ait révélé que Walz serait son choix pour le poste de vice-présidente si elle sortait victorieuse en novembre, les téléspectateurs n’ont pas tardé à imaginer leur propre choix pour celui qui pourrait jouer le gouverneur du Minnesota lorsqu’il apparaîtra inévitablement dans un futur épisode de SNL. Avec l’ancienne actrice de SNL Maya Rudolph déjà prête à incarner la candidate démocrate à la présidence (selon Date limite), Martin, pour beaucoup, semblait être le choix évident pour jouer son colistier.

Steve Martin. Crédit photo : PG/Bauer-Griffin/GC Images.

Le père de la mariée et la star de Only Murders in the Building ont confié au Los Angeles Times que Lorne Michaels, le cerveau de SNL, l’avait déjà appelé pour lui proposer de jouer Walz pendant une durée indéterminée. Une offre alléchante que Martin a poliment déclinée, selon ses dires.

« Je voulais dire non et, d’ailleurs, il voulait que je dise non », explique-t-il. « J’ai dit : « Lorne, je ne suis pas un imitateur. Il te faut quelqu’un qui puisse vraiment mettre en valeur le personnage. » J’ai été choisi parce que j’ai les cheveux gris et des lunettes. »

« Ils vont trouver quelqu’un de vraiment, vraiment bon. J’aurais du mal.

Bien que Martin ait une longue expérience avec la série de sketchs comiques new-yorkaise, qui l’a vu présenter plus d’une douzaine de fois, cela n’a pas suffi à le convaincre de s’engager pour un séjour prolongé. L’acteur de presque 79 ans dit que ce serait tout simplement trop pour lui de revenir dans le même personnage pendant une longue période.

« C’est un travail en cours », poursuit Martin. « Ce n’est pas comme si vous le faisiez une fois, que vous receviez des applaudissements et que vous ne le recommenciez plus jamais. Encore une fois, ils ont besoin d’un véritable imitateur pour y parvenir. Ils vont trouver quelqu’un de vraiment, vraiment bon. Moi, j’aurais du mal. »