Souvenir des choses passées


Souvenirs des choses passées de Marcel Proust est l’histoire du voyage d’un jeune garçon à travers la vie. Il est suggéré que le narrateur ambigu et anonyme est partiellement autobiographique. Le narrateur vit plusieurs romances, qui mènent la majorité de l’action du roman. Remembrance of Things Past est la biographie non seulement du narrateur, mais de l’ensemble du groupe social dans lequel il vit.

Le narrateur évoque son passé, à commencer par son passage à Combray. Son enfance à Combray est malheureuse ; son seul réconfort est le baiser de bonne nuit de maman. Lorsque les convives arrivent, il ne reçoit pas ce baiser. Le visiteur le plus fréquent est M. Swann, bien que ses visites diminuent après son mariage. À une occasion, le narrateur est envoyé dans sa chambre avant la fin du dîner et maman repousse sa tentative de l’embrasser. Il envoie une note demandant à sa mère de venir le voir, mais elle ne répond pas. Il décide de l’attendre et la rencontre dans le couloir. Il a peur en entendant l’approche de son père, mais le père voit que son fils est malheureux et envoie maman dormir dans sa chambre pour le réconforter. Le narrateur rend visite à l’oncle Adolphe lors de la visite d’une actrice. La famille désapprouve, se dispute avec lui et ne revoit plus jamais l’oncle Adolphe. Le narrateur lit beaucoup et ignore autant que possible la vraie vie. Son ami Bloch lui rend visite une fois mais n’est pas autorisé à revenir car la famille du narrateur ne l’aime pas. Heureusement, il fait découvrir au narrateur l’écriture de Bergotte, que le narrateur admire beaucoup. Lorsque le narrateur apprend que la fille de M. Swann est amie avec Bergotte, il désire se lier d’amitié avec elle. La famille du narrateur évite le parc de Swann depuis son mariage, mais un jour, ils se promènent dans le jardin de Swann alors que les Swann sont censés être hors de la ville. Une fille apparaît, suivie d’un homme et d’une femme qui appellent la fille Gilberte. La femme est Mme. Swann; cet homme, c’est M. de Charlus. Le narrateur rêve de rencontrer et d’être accepté par les Guermantes. Tante Léonie meurt et le narrateur quitte Combray.

M. Swann rencontre Odette de Crécy qui l’introduit dans le clan Verdurin. Le pianiste joue un air que M. Swann avait entendu et admiré. M. Swann apprend qu’elle s’appelle « la sonate de Vinteuil », et elle devient l’hymne d’amour de M. Swann et Odette. Ils ont un long flirt sans relation physique jusqu’au jour où M. Swann reconduit Odette chez elle, il lui arrange des fleurs et ils s’embrassent. Ensuite, M. Swann rend visite à Odette tous les soirs. Les Verdurin n’aiment plus M. Swann et préfèrent l’autre ami d’Odette, Forcheville. M. Swann commence à se méfier des rumeurs qu’il entend sur Odette et est jaloux de tout homme qui entre en contact avec elle. Il y a de nombreux jeux d’amour entre les deux, alors que M. Swann tente de convaincre Odette qu’il a bien besoin d’elle ou qu’il la veut autant qu’elle le pense. Lorsqu’il reçoit une lettre anonyme détaillant les aventures d’Odette, M. Swann se rend compte que toute leur relation est un mensonge.

Le narrateur déplore son incapacité à voyager en raison de sa mauvaise santé. Il se rend tous les jours aux Champs-Elysées où il rencontre Gilberte. Il commence à jouer avec elle et ils deviennent amis. Le narrateur est obsédé par Gilberte et les Swann, et il apprend que généralement tout le monde désapprouve le mariage de Swann, qui a affecté son statut social. Le narrateur aspire à voir la Berma agir mais est déçu quand il la voit enfin. Après la pièce, il rencontre M. de Norpois qui l’encourage à devenir écrivain. Le narrateur tombe malade et il n’est pas autorisé à retourner aux Champs-Élysées lorsqu’il ira mieux. Gilberte invite la narratrice à ses goûters. Il se rend ensuite souvent chez les Swann. Chez Mme. Aux goûters de Swann, le narrateur rencontre Bergotte. Gilberte est mécontente lorsque le narrateur lui rend visite sans son consentement et, après une dispute, il s’efforce de la convaincre de son indifférence. Il décide finalement de la revoir mais uniquement en amoureux. Alors qu’il se rend chez elle, il la voit dans le parc avec un autre homme et son indifférence à son égard grandit.

Deux ans plus tard, la narratrice, Grand-mère et Françoise se rendent à Balbec. Au début, le narrateur se sent seul et sa santé en souffre. Finalement, il apprécie la beauté de Balbec. Il désire plaire à Balbec, mais il ne se fait pas d’amis. Ils rencontrent l’amie de grand-mère, Mme. de Villeparisis, et ils dînent ensemble tous les jours. Mme. Le neveu de Villeparisis, Robert de Saint-Loup, rend visite à sa tante et se lie d’amitié avec le narrateur. Saint-Loup raconte au narrateur les débuts de son oncle et présente le narrateur à M. de Charlus à son arrivée à Balbec. Saint-Loup et le narrateur rencontrent un jour Bloch dans la rue et sont invités à dîner chez la famille Bloch. La maîtresse de Saint-Loup est détestée et désapprouvée par sa famille et ses amis.

Le narrateur admire un groupe de cinq ou six filles et aspire à les rencontrer. Ce soir-là, il va dîner à Rivebelle avec Saint-Loup et s’enivre. Il est présenté à un peintre, Elstir, qui l’invite dans son atelier. Dans l’atelier d’Elstir, le narrateur aperçoit par une fenêtre l’une des filles du groupe. La permission militaire de Saint-Loup prend fin et Bloch accompagne le narrateur pour accompagner Saint-Loup jusqu’à son train. Le narrateur persuade Elstir d’organiser un goûter et de le présenter à Albertine. Albertine et le narrateur commencent à se promener ensemble. Albertine désapprouve Bloch et toutes les filles que connaît le narrateur. Elle présente la narratrice à ses amies Andrée et Gisèle. Albertine est jalouse de l’attirance du narrateur pour Gisèle. Albertine donne au narrateur un mot disant « Je t’aime », et le narrateur tombe amoureux d’elle. La nuit, à l’hôtel, le narrateur rend visite à Albertine et tente de l’embrasser, mais elle sonne à l’aide.

A Paris, parce que grand-mère est malade, la famille du narrateur emménage dans un appartement attenant à l’hôtel de Guermantes. Le narrateur aspire à connaître Mme. de Guermantes. Il assiste à l’opéra et apprécie enfin le talent de la Berma. Il voit Mme. de Guermantes au théâtre et commence à se mettre chaque jour en travers de son chemin, ce qui l’irrite. Le narrateur aime Mme. de Guermantes. Il rend visite à Saint-Loup à Doncières pour solliciter une présentation à Mme. de Guermantes. Il apprécie sa visite chez son meilleur ami, mais part sans pouvoir lui dire au revoir car il a hâte de voir grand-mère. Saint-Loup visite Paris et présente son ami à sa maîtresse adorée, Rachel. Rachel rend Saint-Loup jaloux au dîner et au théâtre, et Saint-Loup envoie le narrateur chez Mme. seul chez de Villeparisis, promettant de le suivre sous peu. Bloch est à la fête et ne fait grande impression sur personne. Mme. de Marsantes, la mère de Saint-Loup, arrive, suivie bientôt par son fils. Saint-Loup présente le narrateur à Mme. de Guermantes, qui part quand Mme. Swann arrive. M. de Charlus demande au narrateur d’attendre pour partir avec lui ; au cours de leur promenade, il propose d’expliquer au narrateur ce qu’il a mis toute sa vie à obtenir.

Grand-mère a de la température et a un accident vasculaire cérébral. Le médecin dit au narrateur que l’affaire est désespérée. Françoise allaite sa grand-mère et tous ses amis lui rendent visite. La santé de grand-mère se détériore et elle meurt. Albertine rend visite au narrateur à Paris et ils s’embrassent. Parce que le narrateur n’aime plus Mme. de Guermantes, elle ne le déteste plus, et l’amitié est possible. Mme. de Guermantes invite le narrateur à dîner le vendredi soir. Mme. de Stermaria annule son dîner avec le narrateur. Saint-Loup et le narrateur vont dîner ensemble, où le narrateur est mal traité jusqu’à ce que son association avec Saint-Loup soit révélée. Le narrateur va dîner chez les Guermantes et est choqué par l’amabilité de tout le monde, mais il est dégoûté par Mme. la compréhension de de Guermantes. Dans l’ensemble, il est déçu de la fête. Il part enfin et se rend chez M. de Charlus, maison où M. de Charlus se montre impoli avec lui. Il a entendu dire que le narrateur a dit quelque chose de mal à son sujet et est en colère contre lui. Ils se réconcilient et se quittent en bons termes. Le narrateur se rend quelques jours plus tard chez les Guermantes où il rencontre M. Swann mourant.



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