Sous un ciel blanc


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Kolbert, Elizabeth. Sous un ciel blanc : la nature du futur. Penguin Random House LLC., 2021.

Elizabeth Kolbert Sous un ciel blanc : la nature du futur est écrit à la première personne, du point de vue journalistique. Il marie les temps passé et présent, et suit un modèle structurel régulier. Le résumé suivant adhère à un mode d’explication similaire.

Dans « Down the River », Kolbert parcourt le canal sanitaire et maritime de Chicago. Ce canal est le résultat d’un détournement historique de la rivière. Aujourd’hui, le canal est rempli de détritus et d’ordures. Les ingénieurs ont également dû construire des barrières électriques dans l’eau pour empêcher les poissons d’y pénétrer. Ces images inspirent les réflexions de Kolbert sur les tentatives de l’homme pour contrôler le monde naturel.

Depuis l’Illinois, Kolbert se dirige vers le sud le long du fleuve Mississippi. En Louisiane, elle visite la paroisse de Plaquemines. Plaquemines est un relief unique, largement connu comme l’un des endroits qui disparaissent le plus rapidement au monde. En raison des moyens par lesquels les humains ont tenté de manipuler le cours du fleuve, celui-ci a envahi le territoire, créant des champs engloutis.

Kolbert étudie les implications de ce problème tout en étudiant l’espèce locale invasive, la carpe asiatique. Bien que la carpe ait été introduite à l’origine dans les eaux américaines pour réduire la toxicité, elle a depuis pris le dessus. Les scientifiques cherchent actuellement des solutions à ce problème.

Dans « Into the Wild », Kolbert se rend à Devils Hole, une caverne de la Vallée de la Mort, une région aride du Nevada. La caverne est particulièrement spéciale car elle contient de l’eau. Cette eau abrite un poisson rare du désert connu sous le nom de pupfish. Comme les pupfish sont en voie de disparition, les scientifiques ont créé un faux Devils Hole où ils peuvent reproduire artificiellement ce poisson.

Kolbert se rend en Australie pour en apprendre davantage sur les récifs coralliens. Ses conversations avec des biologistes comme Ruth Gates et Madeleine van Oppen lui enseignent les moyens possibles de protéger et de préserver ces écosystèmes.

Après avoir rencontré van Oppen, Kolbert se rend à Geelong. Elle visite le laboratoire australien de santé animale et rencontre un biochimiste du nom de Mark Tizard. Tizard est en train de lutter contre une espèce envahissante de crapauds-buffles. Les carpes étaient initialement destinées à détruire une population de coléoptères détruisant la culture commerciale du pays, la canne à sucre. Les crapauds, cependant, sont toxiques pour les espèces indigènes d’Australie. Des scientifiques comme Tizard veulent modifier génétiquement les crapauds pour résoudre le problème.

Dans « In the Air », Kolbert reçoit un e-mail d’une société de génie génétique appelée Climeworks. Elle s’inscrit à leur programme de conversion du dioxyde de carbone. En payant une somme d’argent, Kolbert peut demander à l’entreprise de convertir ses émissions de carbone en roche. Curieuse de connaître l’entreprise, elle se rend dans le sud de l’Islande où se trouve le siège de Climeworks.

Ses recherches en Islande l’amènent à s’intéresser à d’autres formes de géo-ingénierie. Elle découvre que les scientifiques tentent d’imiter les effets secondaires des volcans, en refroidissant la température de la même manière que les cendres volcaniques refroidissent le climat. Bien qu’elle soit incertaine quant à ces approches, Kolbert se demande s’il est vraiment possible d’atténuer le réchauffement climatique grâce à de telles technologies scientifiques. Elle décide que toutes les approches présentent des possibilités positives et négatives. Quelles que soient les méthodes utilisées pour lutter contre le changement climatique, elle se rend compte que la nature de l’avenir ne ressemblera en rien à la nature du passé.



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