vendredi, novembre 29, 2024

Soleil et lune, glace et neige par Jessica Day George

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Dans les anciennes terres nordiques, bien après les raiders vikings mais bien avant l’ère industrielle, vivait une famille de fermiers pauvres avec neuf enfants. Notre héroïne est la plus jeune des neuf, si peu valorisée que sa mère n’a pas pris la peine de la nommer ou de la faire baptiser.

La jeune fille sans nom – en fait, elle est simplement appelée « la jeune fille » pour la grande majorité du livre – est largement ignorée, sauf par son père bien intentionné et plutôt inefficace (qui ne résiste jamais à son cruel, enfantin). femme) et son el

Dans les anciennes terres nordiques, bien après les raiders vikings mais bien avant l’ère industrielle, vivait une famille de fermiers pauvres avec neuf enfants. Notre héroïne est la plus jeune des neuf, si peu valorisée que sa mère n’a pas pris la peine de la nommer ou de la faire baptiser.

La jeune fille sans nom – en fait, elle est simplement appelée « la jeune fille » pour la grande majorité du livre – est largement ignorée, sauf par son père bien intentionné et plutôt inefficace (qui ne résiste jamais à son cruel, enfantin). épouse) et son frère aîné, Hans Peter. Hans Peter a pris un travail de marin quand la jeune fille avait cinq ans et n’est rentré à la maison qu’à neuf ans. Il revint prématurément vieilli et pesé par quelque traumatisme secret.

Quand elle avait douze ans, la jeune fille a libéré un renne blanc magique d’un bosquet de ronces et a été récompensée par un nom (qu’elle n’a jamais dit à personne) et la capacité de converser avec les animaux. Bientôt, elle a été adoptée par un louveteau nommé Rollo, qu’elle a presque réussi à faire passer pour un chien ordinaire.

Maintenant, la jeune fille a dix-sept ans. Un ours polaire géant vient d’apparaître près de son village. Son frère gâté Askeladden insiste pour chasser la bête, malgré le fait que Hans Peter le supplie presque de la laisser tranquille ou de risquer une terrible colère surnaturelle…

… et puis l’ours lui-même fait irruption dans le cottage, clairement une créature ensorcelée pas dans sa vraie forme. Il invite la jeune fille à partir avec lui et à vivre dans un palais lointain pendant un an. HP essaie d’empêcher notre héroïne de se sacrifier au isbjørn, mais elle accepte en échange de la prospérité du reste de la famille.

Pour elle, direction le lointain palais de glace enchanté, où elle retrouvera des amis, un prétendant, un secret et une terreur cachée que personne n’ose nommer…

Avis de contenu
La violence: Trois décès non graphiques sont affichés. Le plus troublant d’entre eux est lorsque le isbjørn utilise sa magie pour convaincre (intimider, vraiment) un ours polaire ordinaire de prendre un carreau d’arbalète pour lui. Un troll meurt lorsque son rayon de mort magique lui tombe dessus. Un autre troll décapite un de ses compatriotes lors d’une rixe. Quelques personnages adorables sont tués à perte de vue.

Sexe: Le nœud de ce conte de fées est que la jeune fille doit partager son lit au palais avec un homme invisible chaque nuit. Il ne pose jamais la main sur elle ni ne lui parle, il monte juste de l’autre côté de l’immense lit et s’endort, toujours parti le matin. Une nuit, la fille ose atteindre le visiteur et se sentir comme une personne aveugle, et est capable de s’assurer qu’il s’agit d’un jeune homme humain.

Quand ils se réunissent dans le palais des trolls, ils s’embrassent plusieurs fois. Elle passe la nuit dans sa chambre, mais le sexe n’est même pas impliqué.

Langue: Rien du tout.

Abus de substance: Pas d’inquiétudes à avoir.

Carburant de cauchemar: Ces trolls… ces énormes humanoïdes gris-vert, horribles et brutaux. Surtout la princesse Indæll avec son fétiche pour les hommes humains. Elle a capturé d’innombrables maris réticents à travers les siècles, et la plupart meurent sous sa surveillance. On ne sait pas comment (voir spoiler)

Politique et religion: La jeune fille craint que son manque de prénom la rende vulnérable à la magie noire.

Conclusion
C’est un livre parfaitement sympathique. Mais il semble avoir raté une grande partie des récits de contes de fées : ils sont censés offrir au moins une explication semi-logique des événements étranges de l’histoire, pas seulement étirer l’histoire et la rendre encore plus alambiquée.

Le point de vue de George sur l’histoire soulève plusieurs questions intéressantes, auxquelles malheureusement il ne répond pas. Comment les trolls sont-ils devenus si puissants et asservis toutes les autres créatures fantastiques ? Comment capturent-ils autant de jeunes hommes pour leur princesse délirante ? Pourquoi une malédiction si particulière et ornée? Qu’arrive-t-il à tous les maris? (voir spoiler)

La torsion qui (voir spoiler) est unique et mérite beaucoup plus du livre. La profusion de races fantastiques, à la Narnia et Harry Potter, est également inhabituelle dans les récits de contes de fées. Et avoir un loup pour animal de compagnie est toujours cool. Malheureusement, le roman n’est pas vraiment intéressé à approfondir l’une de ces idées.

Le personnage le plus intéressant est probablement Hans Peter. Les isbjørn est délicieusement sec au début, mais il perd sa personnalité dès qu’ils atteignent le palais. Sa relation avec la jeune fille est en grande partie dépourvue de connexion profonde ou même de chimie; ils s’aiment simplement parce que l’intrigue dit qu’ils le doivent.

Cela dit, j’ai adoré l’attention que George portait à la culture et à la langue nordiques – vous pouvez dire qu’elle a fait ses devoirs ! C’était aussi chouette que le lecteur ne découvre pas le nom de la fille tant que le prince ne le fait pas. Et si vous portez une attention particulière au dialogue de la mère, vous remarquerez quelques citations de Mme Bennet intégrées là-dedans.

Il n’y a rien de mal avec ce livre. C’est agréablement écrit, impeccablement propre, rapide et plein d’animaux mignons. Les filles d’un certain âge vont sûrement l’adorer.

Pour une version plus vivante de la même histoire, voir est par Edith Pattou.

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