dimanche, décembre 22, 2024

Slapstick, ou Lonesome No More ! par Kurt Vonnegut Jr.

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La plus grotesque, la plus absurde de Vonnegut, mais aussi l’une des satires les plus cinglantes.

Ici, Vonnegut s’attaque à l’universalisme et au totalitarisme, mais à une échelle plus grande qu’il ne l’a autorisé dans Harrison Bergeron; mais aussi c’est plus surréaliste. Son génie, cependant, comme on le voit dans d’autres romans, est d’intercaler de manière créative des poches de réalisme austère pour accentuer et mettre en évidence le thème du cirque.

Vonnegut utilise également des éléments grotesques pour illustrer davantage sa réprimande pas trop subtile de l’égalitarisme. Ce je

La plus grotesque, la plus absurde de Vonnegut, mais aussi l’une des satires les plus cinglantes.

Ici, Vonnegut s’attaque à l’universalisme et au totalitarisme, mais à une échelle plus grande qu’il ne l’a autorisé dans Harrison Bergeron; mais aussi c’est plus surréaliste. Son génie, cependant, comme on le voit dans d’autres romans, est d’intercaler de manière créative des poches de réalisme austère pour accentuer et mettre en évidence le thème du cirque.

Vonnegut utilise également des éléments grotesques pour illustrer davantage sa réprimande pas trop subtile de l’égalitarisme. Cela suscite la réflexion, cependant, en termes d’humanisme exagéré et de politique résolument libérale. Une bonne lecture, et une lecture incontournable pour un fan de Vonnegut. Un nouveau lecteur de son canon serait mieux avisé de commencer par Abattoir-Cinq ou Le berceau du chat.

***** 2019 relu

Salut!

Lyn Geranium 27 ici, rapportant le neuvième roman de Kurt Vonnegut, publié pour la première fois en 1974.

Quand j’ai lu cela pour la première fois à la fin des années 80, je ne l’aimais pas tellement. À l’époque, je n’avais aucune exposition et une faible compréhension de l’humour absurde. Après l’université, j’ai rencontré Eugene Ionescu, Albert Camus et Samuel Beckett, j’ai eu une idée un peu plus précise de combien cela pouvait être amusant, et à travers le microscope de l’hyperbole, à quel point cela pouvait être important en tant que dispositif littéraire.

Vonnegut raconte cette histoire scandaleuse du dernier président des États-Unis, un jumeau de génie néandertalien de deux mètres de haut qui a présidé à la fin de la civilisation occidentale. Ce qui suit est la maladie, la famine et les fiefs décentralisés.

Mais la civilisation n’est pas finie, les Chinois ont appris, parmi beaucoup de choses, à devenir complètement Ant-Man et à réduire leur taille pour mieux utiliser des ressources réduites.

Ce qui m’a le plus marqué, ce sont les idées de Vonnegut, évoquées plus tôt dans Cat’s Cradle et Wampeters, Foma et Granfalloons, à propos de notre solitude et de ce dont nous avons désespérément besoin de familles élargies comme dans les sociétés primitives.

Notre héros Wilbur introduit la loi selon laquelle tout le monde remplacera son deuxième prénom par une combinaison de nom et de nombre générée au hasard. Un exemple est Jonquille 11, ou Uranium 8. Cela deviendrait alors la famille de la personne, et ils pourraient se soutenir ou non, comme aujourd’hui. Si vous ne souhaitez pas traiter avec un non-membre de la famille, Wilbur nous invite à lui dire ceci :

« Vous pouvez prendre un f *** volant à un beignet roulant, vous pouvez prendre un f *** volant au Moooooooon! »

Etc.

Vonnegut nous décrit un monde, par exagération absurde, un monde d’individus désespérés qui veulent se connecter, et un idéal nécessaire pour réparer une telle calamité dans l’exemple du petit chinois.

Trop amusant!

Salut!

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