Erma Bombeck dit au lecteur qu’elle est une inquiète professionnelle et qu’elle peut s’inquiéter de beaucoup de choses que d’autres personnes pourraient ne pas considérer, comme si sa fille pourrait épouser un esquimau qui la mettrait à la dérive quand elle sera vieille. Elle raconte ensuite l’histoire d’un rat de laboratoire nommé Lionel qui survit à toutes sortes d’expériences mais meurt lorsqu’il part faire un tour en voiture avec un adolescent. Bombeck dit que ces histoires ont mis en place le reste du livre qui vise à parler au lecteur de la survie.
Cette survie va du fait de supporter les années de croissance de ses enfants à la prise de conscience qu’elle prend en charge les soins de sa mère. Elle parle de son mari et de sa tendance à être en retard de sorte qu’elle n’est jamais arrivée à l’heure pour quoi que ce soit depuis leur mariage. Elle raconte l’histoire d’une mère essayant de se souvenir du nom de son enfant et l’enfant s’en servant pour culpabiliser la mère. Bombeck parle de la décision qu’elle et son mari ont prise de laisser leurs enfants à la maison et d’avoir leur propre appartement, bien que les enfants prédisent qu’ils reviendront bientôt à la maison en réalisant qu’ils ont une bonne chose après tout. Elle parle de son inquiétude que sa famille ne puisse pas survivre avec elle et laisse un guide de survie contenant des informations, notamment des instructions sur la façon de changer le rouleau de papier toilette.
Bombeck explore l’impact de la mère qui travaille sur la famille américaine et le besoin frénétique des mères de jongler entre le travail et les attentes de la famille. Elle poursuit en discutant de la nécessité de rattraper certaines des dernières tendances, notamment apprendre à jouer au tennis et comment le jeu est en quelque sorte un piège social dans lequel elle n’est pas chez elle. Plus tard, elle parle de mode et dit que les talons compensés sont un problème car elle déteste les chaussures mais ne jette jamais une paire tant que les semelles ne sont pas usées. Bombeck aborde un éventail d’autres sujets, allant du fait que n’importe qui peut avoir accès à un caddie bien qu’il s’agisse de véhicules dangereux, qu’il existe des lois dans plusieurs États qui interdisent de laisser un enfant derrière pendant ses vacances et de prétendre qu’il était un accident, et qu’elle est ravie d’apprendre que son enfant écrit un essai sur tout ce qu’elle lui a appris jusqu’à ce qu’elle le lise. Elle parle du fait qu’il devrait y avoir une sorte d’endroit organisé où les parents et les enfants pourraient aller quand ils cherchent à « échanger », bien qu’elle et ses amis – après avoir discuté des défauts de leurs propres enfants – refusent d’échanger et se sentent un peu mieux sur leur progéniture.