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L’histoire d’Oliviu Craznic traite de la face la plus moche du Mal – le Diable lui-même (j’ai choisi « lui-même » car je ne suis pas sûr de la nature du Diable : homme ou femme :D, par contre, ça peut être les deux, je g
L’histoire d’Oliviu Craznic traite du visage le plus laid du Mal – le Diable lui-même (j’ai choisi « lui-même » car je ne suis pas sûr de la nature du Diable : homme ou femme :D, par contre, ça peut être les deux, je suppose : RÉ). Ici, les manifestations diaboliques (vampires, loups-garous, incubes, pestes, zombies d’un genre particulier, cimetières hantés, tombes profanées etc.) ne sont pas du tout romancées, croyez-moi. 😀 Et aucun baiser de vampire n’est voulu dans cet univers fictif gothique sombre plein de mauvais présages.
Ayant toutes ces choses à l’esprit, il ne faut pas s’étonner du point de vue de l’auteur sur la Sainte Inquisition, celui d’une compagnie divine qui entreprend le travail compliqué de combattre le Mal sous ses formes multiples et extrêmement inattendues.
J’ai adoré la façon dont l’écrivain joue avec le lecteur, anticipant toujours les événements, mais ne disant rien jusqu’à ce que ce soit le bon moment pour le dévoiler, et alors, le lecteur fait face à ses attentes les plus sombres. Je ne veux vraiment pas spoiler, car ce livre DOIT être lu. :RÉ
Je pense que l’un des personnages du livre est l’atmosphère : sombre, intense, terrible, délicate. Le château des dernières tours est un endroit connu pour son ancien propriétaire violent, fou et diabolique, et la tension dans l’histoire vient aussi de cette chose.
Tous les personnages sont plus qu’ils ne semblent l’être, et ils sont très bien mis en valeur, donc on ne peut être sûr de la véritable menace qu’à la fin de l’histoire. Presque tous ont de vilains secrets à cacher, et aucun d’entre eux n’est là sans raison.
La fin du livre consiste en une série de révélations, comme une cascade, pourrais-je dire, et ce n’est pas une heureuse 😀 (si vous vous attendiez à quelque chose comme ça), mais c’est une fin juste et raisonnable : le Bien peut être contesté , peut être temporairement vaincu par le Mal, mais à la fin, il ne peut pas être détruit. D’une certaine manière, je pense que le livre contient un message d’espoir, qui dit que la nature humaine n’est pas totalement corrompue ou corruptible. C’est ce que je vois dans le choix final d’Adrianna de Valois.
J’aime Arthur de Seragens, mais j’aime le vicomte de Vincennes. Alors qu’Arthur est si humain, si plein de faiblesse humaine, Vincenne représente la nature humaine optimiste, le type rationaliste et courageux, mais même lui peut faire des choix stupides (pour venir à ce mariage), et des erreurs de jugement (à propos de Joséphine de Lauras) .
Un autre message de l’histoire, je pense, est que LES LIVRES SONT DANGEREUX, d’une manière ou d’une autre. 😉
Enfin, j’ai vraiment apprécié la lecture de ce livre (même si je ne suis pas du genre horreur du lecteur), et j’ai adoré la postface de l’écrivain qui est une sorte d’étude sur les manifestations du Mal à travers l’histoire.
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