dimanche, décembre 22, 2024

Si je meurs dans une zone de combat, emballez-moi et expédiez-moi à la maison Résumé et description du guide d’étude

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« Si je meurs dans une zone de combat » est un mémoire personnel. En vingt-trois brefs chapitres, Tim O’Brien raconte son expérience de jeune homme enrôlé dans l’armée pendant la guerre du Vietnam. Avec réflexion et perspicacité, il illustre son trouble intérieur face à son opposition à la guerre et sa lutte pour décider d’esquiver ou non le repêchage ou de fuir l’entraînement de base. Avec l’humour vulgaire d’un fantassin, O’Brien donne vie aux foxholes et aux marches nocturnes à travers les villages et les champs de mines du Vietnam. Il met son âme à nu dans un examen du courage, de la justice et du comportement brutal des fantassins pendant la guerre du Vietnam.

Les mémoires racontent brièvement l’enfance et l’éducation de Tim O’Brien. Cela aide le lecteur à comprendre ce que O’Brien risque de perdre s’il ne se présente pas au travail comme l’exige son pays. L’histoire personnelle sert également de juxtaposition frappante à la dureté de la formation de base et de l’école d’infanterie avancée où O’Brien est contraint du confort de sa ville natale à des fatigues militaires et à une caserne à occupation multiple.

Dans une formation d’infanterie avancée, O’Brien fait un dernier effort pour demander conseil pour son opposition à la guerre du Vietnam. Lorsqu’il ne trouve aucune orientation, il fait un autre effort pour abandonner l’entraînement militaire. O’Brien se rend à Seattle, mais ne peut se résoudre à monter dans le bus et à traverser la frontière vers le Canada. Au lieu de cela, plusieurs semaines plus tard et malgré son opposition personnelle, il atterrit dans la baie de Cam Ranh, au Vietnam.

Au Vietnam, O’Brien est affecté comme opérateur radio dans la compagnie Alpha. Il est initié à la vie de soldat en zone de combat. C’est une vie rude et violente. O’Brien survit à de nombreuses batailles en s’enterrant dans la boue. Il regarde la forêt. Il est témoin des atrocités commises sur les Vietnamiens. Il voit de nombreux amis mourir. Et il découvre un héros dans le commandant de sa compagnie, le capitaine Johansen. O’Brien emmène le lecteur à travers les villages et les batailles de la Compagnie Alpha dans chaque partie du Vietnam, de la péninsule de Batangan au My Lai.

Les mémoires se terminent avec O’Brien installé en toute sécurité dans une position de non-combat dans un camp de base. A ce camp de base, O’Brien parvient enfin à échapper aux plus graves horreurs de la guerre, sauf l’introspection. L’auto-examen, apprend O’Brien, peut être aussi douloureux qu’un combat. Lorsque O’Brien fait enfin le voyage de retour dans les plaines du Minnesota, il est incapable de se réjouir. Il a quitté le Minnesota à l’université, mais il revient en tant qu’homme, irrémédiablement affecté par la guerre du Vietnam.

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