Seth Meyers révèle son statut COVID depuis son dernier emplacement distant Late Night

Seth Meyer

Seth Meyer
Capture d’écran: Tard dans la nuit avec Seth Meyers

Eh bien, ça a dû être quelques bons mois de liberté, de toute façon. Alors que Seth Meyers retournait dans son Tard dans la nuit lundi, les téléspectateurs ont eu droit, une fois de plus, à une visite du matériel de lecture et du design d’intérieur de la famille Meyers, alors que l’hôte s’est retrouvé en exil COVID auto-imposé. Après avoir été testé positif au plus récent virus déchaîné une variante La semaine dernière, Meyers a été contraint d’abandonner plusieurs émissions et, alors que Meyers a assuré à tout le monde qu’il n’avait jamais eu de symptômes d’Omicron, de Delta ou de la lettre grecque à nommer COVID (grâce à avoir été judicieusement vacciné et boosté), lundi Tard dans la nuit a encore vu Meyers diffuser à distance. (Complété par une visite du vieux capitaine de la marine peinture qui peut ou non être le fruit de l’imagination verrouillée de Meyers.)

Et tandis que Meyers appréciait à contrecœur de ne pas avoir été forcé de faire son émission de fin de soirée de sa belle-famille ou cet espace de grenier avec toutes les guêpes, il semblait certainement au-dessus de tout, en ce qui concerne les interviews de célébrités depuis un espace de vie photogéniquement rangé. « Ce n’est pas bien que nous devenions bons pour faire notre émission en dehors du studio car un virus sévit », a noté Meyers, qui a pourtant profité du manque de public (et, peut-être, de l’influence levante de son personnel) pour sortir son impression terriblement enthousiaste d’Al Pacino. À deux reprises. La fièvre des cabines est bien réelle, les gens.

Indépendamment de toute cette pandémie mondiale que les républicains continuent de prolonger en se précipitant dans les bras de chaque charlatan et pompeux tête de viande colportant de faux « remèdes miracles » (cette semaine, c’est littéralement boire ton propre pipi), le spectacle doit continuer. « Maintenant, où étais-je ? », a poursuivi Meyers après cinq minutes d’autodérision à la maison, avant de se rappeler tristement qu’il devait parler de Ted Cruz. Dans son segment A Closer Look, Meyers a, en effet, dû aborder le fait que le sénateur du Texas et a noté le fond politique s’était une fois de plus dégradé à la télévision nationale. (Et ici, il convient de souligner que personne ne fait honte. C’est juste que, si vous aimez vous énerver en public, cela ne vous fera probablement pas aimer l’Amérique si c’est l’héritier du bâton de poisson de Fox News et la bite autoritaire Tucker Carlson fait le sifflement.)

Rappelant comment Cruz s’est exposé de manière mémorable et répétée en tant que réceptacle de dégradation du GOP (comme la fois où il a fait campagne pour Donald Trump après que l’ancien président et présumé fétichiste Trump se soit moqué publiquement et personnellement de la femme et du père de Cruz), Meyers a dû y renoncer. Cruz pour avoir momentanément oublié sa place et osé qualifier l’insurrection de 2020 des sbires de Trump d' »attaque terroriste ». Et puis Meyers l’a rapidement repris en montrant des clips de Cruz se moquant de la honte sur Fox pour que son visage rougissant soit frotté sur le tapis par Carlson, dont le personnel (qui aime clairement regarder) a même préparé un petit topper moqueur à base de chyron pour l’occasion. (« Cruz’ing for a contusing », lire le graphique à l’écran de Carlson, peut-être par déférence pour le penchant masochiste de son invité.)

Considérant Cruz comme emblématique du GOP d’aujourd’hui, qui adore toujours Trump, Meyers a conclu: «C’est le cœur de la politique moderne du GOP. Vous devez prouver à la base que vous n’avez aucune dignité, que vous êtes prêt à vous humilier pour eux, et qu’il n’y a rien de trop pathétique à faire pour gagner leur faveur. Et si le législateur de l’Ohio, son collègue lèche-bottes fasciste et multiplie les accusés lâches face aux abus sexuels endémiques, Jim Jordan vient chercher le sac parfumé de Cruz en refusant soudainement de coopérer avec le comité enquêtant sur l’insurrection du 6 janvier (après avoir précédemment affirmé qu’il n’avait rien à cacher), Meyers n’était pas prêt à détacher Cruz de son poste de fouet préféré pour l’instant.

Source-140