Seras-tu là ? par Guillaume Musso


**La version française de l’analyse est au-dessous de la version anglaise**
(Résumé du livre) Et si vous aviez la possibilité de remonter le temps ? Elliott, médecin de renom, père satisfait, ne s’est jamais remis de la perte d’Ilena, la femme qu’il aimait, décédée trente ans plus tôt. Un jour, par des circonstances extraordinaires, il est replongé dans le passé et rencontre le jeune homme qu’il était alors. Les années 1970 battent leur plein à San Francisco, et Elliott est un jeune médecin plein de passion et d’ambition. Cette fois, prendra-t-il la décision qui pourra sauver Ilena ? Saura-t-il changer son inévitable destin ?

Pour être franc, j’ai beaucoup plus aimé ce livre que Sauve-moi. L’histoire était plus intéressante, l’amour plus réel (l’amour d’un père pour sa fille, l’amour entre amis, et bien sûr, l’amour entre amoureux), et le « jeu » plus intrigant. J’ai quelques questions sur les résultats de ce que les petits changements du passé ont fait dans le présent – pourquoi certaines personnes se sont souvenues du passé originel alors que d’autres n’ont jamais connu les différences – mais c’est souvent le cas avec le voyage dans le temps. À la fin, j’ai plutôt apprécié cette histoire, au point que j’ai pleuré vers la fin du livre pour un personnage.

Citations et quelques réflexions :
Là, il n’aura fallu que trois minutes à un homme qu’il n’avait jamais vu faire sauter ses certitudes et le faire douter de tout. Un misérable tas de petits secrets ; c’est ce que nous sommes tous. – page 92

(voir spoiler)

« Quand tu seras père, tu me comprendras, Elliott : Tu n’abandonnes jamais ton enfant, même pour sauver la femme que tu aimes… » – page 247

Il [the elder Elliott] regretté de ne pas savoir trouver les mots pour aider [his younger self], tout en sachant que les mots sont des alliés de peu de poids face à la souffrance et à l’adversité. – page 283

Il s’appelle Elliott Cooper. Il a dix-neuf ans et ne sait pas vraiment quoi faire de sa vie. Deux mois plus tôt, il avait arrêté ses études pour entreprendre un voyage à travers les États-Unis. – page 300 – (Une faute de frappe en français). De plus, bon travail M. Musso – en utilisant le cliché selon lequel un jeune homme ne sait pas quoi faire de sa vie avant d’aller à l’université, alors il voyage à travers le pays. Au moins il y a eu des résultats positifs de ce voyage – une amitié et un amour qui sont inoubliables…

Ils avaient essayé de tromper le destin, mais le destin était plus fort. – page 333 – (Elliott a trente ans) Le destin est vraiment fort, mais cela ne veut pas dire que nous devons arrêter de le combattre et de le défier.

(voir spoiler)

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   Pour être franche, j’ai aimé ce livre beaucoup plus que Sauve-moi. L’histoire était plus intéressante, l’amour plus réel (l’amour d’un père pour sa fille, l’amour entre amis, et bien sûr, l’amour des amants), et le « joue » plus fascinant. J’ai quelques questions sur les résultats de ce que les petits changements ont fait dans le présent – pourquoi quelques gens avaient reconnu le passé original quand des autres ne savent rien des différences – mais ça c’est souvent le cas avec les joues dans le temps. À la fin, je suis bien amusé avec cette histoire, au point où j’ai pleuré près de la fin du livre pour un caractère.

Des citations et quelques réflexions:

   Voilà, il avait suffi de trois minutes pour qu’un homme qu’il n’avait jamais vu dynamite ses certitudes et le fasse douter de tout. Un misérable tas de petits secrets, voilà ce que nous sommes tous. – page 92

   (view spoiler)

— Quand tu seras père, tu me comprendras Elliott : on n’abandonne pas son enfant, même pour sauver la femme qu’on aime… — page 247

Je [le vieux Elliott] regretter de n’avoir pas su trouver des mots pour aider [son double jeune], tout en sachant très bien que les paroles ne sont que des alliées de faible poids face à la souffrance et à l’adversité. – page 283

Il s’appelle Elliott Cooper. Il a dix-neuf ans et ne sait pas trop quoi faire de sa vie. Il y a deux mois, il a arrêté ses études gour [sic] entreprendre un périple à travers les États-Unis. – page 300 – Une coquille – « gour » et non pas « pour ». En outre, très bien M. Musso – utilisant le cliché où un jeune homme ne sait pas quoi faire avec sa vie avant qu’il va à l’université, donc il entreprend un périple à traverser le pays. Au moins il y avait des résultats positifs de ce voyage – une amitié et un amour inoubliable…

Ils avaient tenté de défier le destin, mais le destin était le plus fort. – page 333 – [Elliott a 30 ans] Le destin est vraiment fort, mais ça ne vaut pas dire qu’on cesse de lutter contre le destin et à le défier.

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** Toutes les traductions de cette revue sont les miennes **

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